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Jean Gabin, epitome de l’homme européen

Il est des hommes qu’on n’oublie pas, sans même les avoir jamais croisés. « On ne peut faire de comptes avec de tels êtres, ils arrivent comme le destin… trop terribles, trop soudains, trop convaincants, trop “différents”[1]. » Jean Gabin est de ceux-là.

Jean Gabin, epitome de l’homme européen

Il est des hommes qu’on n’oublie pas, sans même les avoir jamais croisés. « On ne peut faire de comptes avec de tels êtres, ils arrivent comme le destin… trop terribles, trop soudains, trop convaincants, trop “différents” . » Jean Gabin est de ceux-là.

Dans un entretien accordé en avril 2018 [2], Alain de Benoist expliquait la valeur ethnographique du cinéma. Celui-ci « apparaît comme un témoignage privilégié de ce que l’on appelle le monde d’avant ».

Jean Gabin Moncorgé, de son nom complet, est en cela l’illustration parfaite de l’homme d’avant, ayant traversé les tumultes du XXe siècle devant et derrière la caméra. Sa vie est une pièce en cinq actes dont les scènes se sont déroulées sous nos yeux, spectateurs curieux d’observer l’évolution de ce titan du cinéma. Car, à travers ses films, c’est une mise en abyme de la personnalité du comédien qui se dévoile et s’affirme. Le bien-aimé Gabin est l’une des dernières incarnations de l’homme européen sur grand écran, pour notre plus grand plaisir.

Enfance et débuts de l’artiste

Scène d’exposition

Le monstre sacré du cinéma français n’était pourtant pas destiné au métier. Il y est entré “à coups de pied dans le derrière”. Né en mai 1904, le petit dernier d’un couple de saltimbanques a pour rêve, enfant, de devenir conducteur de locomotives. La vie va en décider autrement.

Jean grandit à Mériel, petit bourg campagnard du Val-d’Oise. De cette période lui reste un désir profond, né de sa sympathie pour ses voisins fermiers, la famille Haring : « une petite ferme bien à moi dans un petit coin de Normandie ». Gabin est fasciné par les bêtes et le travail de la terre, et ce vœu d’enracinement – paradoxal pour l’enfant d’amoureux de la vie parisienne – le guidera toute sa vie. La nature comme socle[3], déjà.

Le père de Jean, Ferdinand Moncorgé, joue dans des opérettes sous le nom de scène de Ferdinand Gabin que Jean, dont c’est le deuxième prénom, adoptera ensuite en héritage. La mère de Jean, Hélène, a abandonné, à regret, le métier de chanteuse pour se consacrer à ses enfants, ce qui la rendra à jamais malheureuse et expliquera en bonne partie ses relations difficiles avec son benjamin.

Jean a 10 ans en 1914. La Grande Guerre est une première tragédie. Il y perd des amis proches. Son beau-frère et modèle, le champion de boxe Jean Poësy, est gravement blessé en 1915, amputé d’une jambe. « De ce jour-là, j’ai conclu définitivement que, quelles que soient ses raisons et ses buts, la guerre était une vraie saloperie[4]. » Son livre de chevet n’allait-il pas, plus tard, être Voyage au bout de la nuit ?

En 1918, Hélène décède. Jean n’a que 14 ans au moment du drame. Sur son enfance, il pose un regard attristé et sévère : « Je n’ai pas été élevé… Je me suis élevé tout seul… » Il faut sans doute y voir les racines de sa sensibilité extrême, d’écorché vif, et de son intransigeance morale à la fin de sa vie.

En parallèle, Jean Gabin est un grand sportif. Il débute la boxe à l’âge de 10 ans, exerce la balle au pied et, surtout, pratique le vélo jusqu’à un âge avancé. Son physique de héros grec ne sera pas pour rien dans son succès.

Les débuts de l’artiste

En 1922, coup de théâtre : Ferdinand lui décroche un emploi aux Folies-Bergère. Cela ne devait être que temporaire, pour faire plaisir au paternel. Il n’a pourtant jamais quitté le métier. Très consciencieux, toujours ponctuel, naturel, doué d’une grande authenticité, le jeune Jean se glisse avec aisance dans le costume d’artiste. Et c’est lors d’un spectacle aux Folies qu’il rencontre son premier amour, Gaby Basset, qu’il épousera début 1925.

L’année 1928 marque, elle, les débuts au cinéma. « Ce premier contact avec le cinéma ne m’avait pas particulièrement enthousiasmé. D’abord c’était muet et, pour un type comme moi dont la spécialité était surtout de faire entendre sa voix, c’était plutôt frustrant. Mais le pire, c’était pas ça. C’est quand j’ai vu ma gueule à l’écran[5] », expliquera-t-il, pas narcissique pour un sou.

Jean tourne son premier véritable film en 1930 : Chacun sa chance, comédie vaudeville chantée et dansée. Plusieurs films suivront : en 1931, Méphisto, Paris Béguin et Gloria (1931), puis l’année suivante Les Gaîtés de l’escadron, La Belle Marinière… Mais pour l’acteur, ce succès ne relève que du malentendu. Il s’est engagé dans une voie par défaut, contre-nature.

En novembre 1933, Ferdinand Moncorgé décède. Quelques jours après l’enterrement, et alors qu’il a rompu d’un commun accord avec Gaby Basset quelques années plus tôt, Gabin épouse en secondes noces Doriane Mauchain.

Le prince des faubourgs périphériques, les glorieuses années (1935-1940)

À partir de 1935, Jean Gabin est incontournable. Le film La Bandera initie cette série de succès. Suivent La Belle Équipe (1936), Pépé le Moko (1937), Les Bas-Fonds (1936), La Grande Illusion (1937) – sous la direction de Jean Renoir – et Gueule d’amour (1937) de Jean Grémillon.

En 1938 sort le classique Quai des brumes, où il donne la réplique à Michèle Morgan avec qui il aura une brève liaison quelque temps plus tard. De cette première rencontre, elle décrira magnifiquement le jeune premier, tel Achille chanté par Homère : « Une étonnante blondeur, rien de la pâleur décolorée du Nordique, un blond chaud de blés au soleil. Ses yeux bleus sous ses cils drus et dorés : un paysage de Beauce ou de Brie[6]. »

1938 est aussi l’année de La Bête humaine, signé Jean Renoir. Une relation particulière allait s’établir entre Gabin et le fils d’Auguste Renoir, issus de milieux diamétralement opposés. Dans sa biographie très documentée publiée en 1987, André Brunelin, ami proche de l’acteur, constate avec justesse que « ce qui les a unis, c’est l’amour identique qu’ils avaient pour les choses de la nature, le terroir, les valeurs traditionnelles, le sentiment aussi d’être issus d’une culture foncièrement française, et d’y être enracinés irrémédiablement ».

C’est au cours de ces années glorieuses que se façonne le mythe Gabin – parfaitement incarné dans Pépé le Moko. Pour citer à nouveau André Brunelin, Gabin est « entré, lui vivant, dans la mythologie populaire ». La source de sa large popularité, du reste, est à chercher dans la dignité qu’il donne à ses personnages. Ce fut particulièrement le cas pour les ouvriers qu’il incarna – toujours avec respect et élégance – dans La Bête humaine (1938) et Le jour se lève (1939). Ou encore bien plus tard, à la façon dont il incarna Gaston Dominici.

Aussi la facilité avec laquelle Gabin interprète ses rôles ne doit-elle pas occulter son professionnalisme inouï et son souci de l’excellence. Le metteur en scène Jean Delannoy aura ces mots[7] très à propos : « On dit beaucoup de choses sur Gabin : on se trompe presque toujours. Quand il joue une scène, le moindre incident, le plus petit bruit l’arrêtent, le cabrent, comme un poulain. Ses réactions semblent disproportionnées avec l’objet, on invoque son mauvais caractère. C’est ignorer l’importance de la concentration chez ce timide… Ce “dur” est un sensible. Cet homme tranquille est un inquiet. La sûreté de son jeu, c’est un tremblement intérieur dominé avec peine. Et c’est la raison même de son très grand talent. […] Personne mieux que lui ne sait dépister le mot excessif, le geste qui dépasse l’intention. Quand une phrase du texte l’embarrasse, c’est presque toujours la phrase qui a tort. Car le trait dominant de ce bourru, jamais grossier, de cet enfant du peuple aux expressions imaginées, jamais vulgaires, c’est la pudeur. »

À l’été 1939, alors qu’il tourne Remorques aux côtés de Michèle Morgan, Gabin est mobilisé en tant que fusilier marin.

Entre-acte : d’Hollywood à l’engagement militaire

En plein conflit mondial, Jean s’expatrie à Hollywood comme bon nombre de ses camarades de scène. La parenthèse américaine ne durera que deux ans, de1941 à1943. Le public français retiendra sans doute le couple glamour qu’il forma outre-Atlantique avec Marlène Dietrich. Toutefois, l’éloignement de la patrie charnelle le marquera au fer : « Je vais vous dire une chose. J’ai compris là-bas que j’étais un acteur de caractère “national”, que je ne serai un comédien cosmopolite. J’ai besoin d’avoir les pieds sur le sol de mon pays[8]. »

Cela étant établi et son sens du devoir faisant le reste, Gabin s’engage fin 1942 dans les Forces françaises libres. Sa mobilisation dura vingt-sept mois : nouvelle épreuve du feu qui aiguisera son caractère : « Je partais avec le sentiment que j’allais laisser ma peau dans cette guerre que, pourtant, je voulais faire pour être en règle avec moi-même. Mais avec la trouille que je me payais, je n’arrêtais pas de penser que ce serait une drôle de chance si j’en réchappais. C’est bien connu, dans ces coups-là, la mort frappe toujours en premier les types qui ont la pétoche. Et moi, je l’avais. Je ne me sentais pas du tout l’âme d’un héros[9]. »

Jean Gabin rejoint en janvier 1945 le Régiment blindé de fusiliers marins (RBFM) et intègre le 2e escadron où il sera chef de char du TD Souffleur II[10]. Il participa ainsi, dans les premières semaines de 1945, « aux combats pour la liquidation de la poche de Colmar qui achevait la libération de l’Alsace[11] ».

Retour en France, le drapeau noir flottait sur la marmite

À tout juste 40 ans, Jean Gabin rentre de la guerre avec les cheveux blancs. L’image du jeune premier qui a fait son succès au cinéma est désormais derrière lui. Mais, qui dit changement physique dit également portes closes pour jouer les héros populaires. De sorte que l’acteur avait pris l’habitude romanesque de mentionner ces passages à vide professionnels comme du « drapeau noir qui flottait sur la marmite ».

Divorcé de Doriane Mauchain en 1939, Jean Gabin rencontra alors la femme de sa vie, Dominique Fournier, mère de ses trois enfants, qu’il épouse en mars 1949. Modèle chez Lanvin, elle a 31 ans, lui 45. Dans un ouvrage publié en 2003[12], Florence, leur fille aînée, rapporte qu’il « était à l’époque un homme élégant et raffiné qui portait la pochette assortie à la cravate, des costumes impeccables taillés sur mesure ».

En aparté, quelques mots méritent d’être dits sur le séducteur Gabin. D’aucuns auraient la tentation de la classer dans la rubrique des hommes machistes. Pourtant, jusqu’à cette période de sa vie, il n’en est rien. En effet, dans ses Mémoires, Marlène Dietrich explique que « sa façade de dur à cuire et son attitude virile étaient complètement artificielles. C’était l’homme le plus sensible que j’aie connu […] Gabin était l’homme – le super-homme –, “l’homme d’une vie”. Il était l’idéal que recherchent toutes les femmes ».

Dominique avouera, elle, qu’il « était impossible pour une femme qui avait la chance de l’approcher de ne pas tomber amoureuse de cet homme-là ». Et effectivement, tous les témoignages de femmes relatés par André Brunelin dans sa biographie officielle ont ceci en commun : une sensibilité hors du commun, une gentillesse et une prévenance saisissantes. C’était un gentilhomme en somme.

Quant au drapeau noir qui flottait sur la marmite en ces années de noces heureuses, il révèle deux traits de caractère de l’homme Gabin qui ne cesseront de s’affirmer : le bâtisseur et l’éducateur. En effet, depuis ses débuts dans le métier, Gabin est pris d’une angoisse : que cette carrière, qu’il n’a pas vraiment choisie, s’arrête. Dans un entretien avec le journaliste François Chalais, l’acteur exprime parfaitement ce sentiment: « Dites-vous bien, Chalais, que ça n’est pas un métier que nous avons, c’est une profession provisoire. Je crois qu’il faut assurer ses arrières. » Pour lui, cela signifiait acheter un terrain et cultiver la terre. La terre, c’était du concret. Pour ses enfants, il ressentait le besoin d’« accomplir une “œuvre” qui ne devait rien à personne qu’à lui-même, dont il était à la fois l’auteur, le metteur en scène et l’acteur, et d’y affirmer sa vraie personnalité[13] ».

D’autre part, la paternité eut sur lui un effet redoutable, le poids des responsabilités sans doute. Moralement, il s’aiguise et cela s’en ressentit sur l’éducation de ses enfants. Ainsi, Florence Moncorgé-Gabin confie dans son ouvrage[14] : « Très tôt, il nous a mis “au parfum” d’une moralité toute personnelle qui sourdait à chacune de ses paroles et à chacun de ses actes. En gros, de tout ce qui avait forgé son mythe sur les écrans et dans sa vie. Ses principes étaient plus proches de l’homme du peuple que du bourgeois ou du notable… Pour mon père, que l’homme naisse riche ou pauvre, les valeurs morales devaient être les mêmes : la droiture, la loyauté et l’honnêteté. “Dans la vie, il faut toujours aller la tête haute et pour ça il faut marcher droit. On peut avoir des défauts mais il faut être propre. (…) Son autorité était indéniable, il était le patriarche. Aux repas, il siégeait en bout de table. Dès qu’il ouvrait son Laguiole en le posant à côté de son assiette, on savait qu’il ne fallait plus dire de conneries. »

Changement d’image et retour du succès : Gabin, le patriarche « vieil ours » (1950-1973)

Retour du succès professionnel

La paternité entraîna également une sélection plus attentive de ses films, qu’il choisissait désormais plus sérieux. Ainsi, l’année 1950 marque pour Jean Gabin le retour du succès sur grand écran avec La Marie du port, de Marcel Carné. Sa rencontre avec le dialoguiste Michel Audiard va être aussi déterminante. Tous deux ont la réplique qui fait mouche, et le verbe haut. Leur amitié couvrira plusieurs collaborations, dont quelques chefs-d’œuvre : Gas-Oil (1955), La Traversée de Paris (1956), Les Grandes Familles (1958), Le Président (1961), Un singe en hiver (1962), Mélodie en sous-sol (1963)…

En 1954, Gabin renoue avec le grand public grâce à Touchez pas au grisbi, signé Jacques Becker, avec Lino Ventura. Le personnage de Max lui ouvre enfin des rôles à sa mesure. Au cinéma, il incarne désormais l’homme expérimenté et autoritaire.

Le vieil ours

Pour son dernier acte, Gabin, tel un vieil ours qui prépare l’hiver de sa vie, se cherche une tanière où installer femme et enfants. En juillet 1952, il concrétise enfin son rêve en achetant un domaine dans l’Orne, en Normandie, « La Pichonnière ». La résidence qu’il y fait construire pour sa famille se nomme bien entendu « La Moncorgerie ». Gabin, doté d’un bon sens paysan, aime la chasse. Aussi se lance-t-il corps et âme dans l’élevage de bovins et, en inconditionnel du journal Paris Turf, installe sa propre écurie. Parti de rien, le domaine réunit près de trois cents bêtes de bétail et une quinzaine de chevaux de course à la mort du patriarche. Pourtant, jusqu’à son dernier souffle – et ce fut une source de grande tristesse –, le monde paysan refusera de le compter parmi les siens.

Une deuxième caractéristique du carnivore Gabin est son goût connu pour la table et son grand appétit. Le Français dans toute sa splendeur ! André Brunelin le conte parfaitement : « Jean à table était un poème épique, et si vous réunissiez à ses côtés Bernard Blier, Gilles Grangier et Lino Ventura, alors ça devenait carrément l’odyssée de la bouffe[15]. »

Enfin, à l’image presque caricaturale de l’animal des montagnes, Gabin devient avec l’âge de plus en plus solitaire. D’aucuns diront que ce génie cultive délicatement sa misanthropie. Le trait est toutefois exagéré. Et effectivement, « il n’avait pas d’amis à proprement parler. Je parlerais plutôt d’un clan, d’hommes dont il aimait la compagnie et qu’il estimait, dont les femmes elles aussi faisaient partie intégrante[16] », confie sa fille Florence.

Sur cette évolution de caractère du léger Gabin, séducteur, des premières années au Gabin autoritaire et chef de famille, sa femme Dominique expliquera que « son caractère ne s’est pas modifié du jour au lendemain, ça a été très lent et très progressif… Il a toujours conservé des moments au cours desquels il était très détendu, très gai, charmant, mais la moindre contrariété pouvait brusquement le fermer sur lui-même, il s’emmurait ou, au contraire, il explosait d’une grande colère, souvent pour des riens ». Aussi ajoute-t-elle : « C’est très douloureux à avouer, mais Jean est resté pour moi une énigme. Par pudeur, il dissimulait beaucoup de lui-même[17]. »

Finalement, une des répliques écrites par Audiard pour Le Président (1961) qu’il incarne sied parfaitement au grand Gabin : « Je suis un mélange d’anarchiste et de conservateur, dans des proportions qui restent à déterminer. » On l’a vu, l’homme est paradoxal. À l’entrée « cinéma » du Dictionnaire du conservatisme, Ludovic Maubreuil explique très justement cette dualité : « Il fut ce grand bourgeois irascible, prêt à châtier les déviants qui auraient l’outrecuidance d’empiéter sur ses zones de pouvoir, ou de bafouer quelques règles de bienséance. (…) Il fut ce héros solitaire qui cherche avant tout à protéger la société contre ce qui pourrait entraver son bon fonctionnement, à permettre à chacun de consommer en toute quiétude, à assurer en somme la pérennité du désordre établi[18]. »

En 1976, à l’âge de 72 ans, le diamant solitaire s’éteint. Laissant derrière lui des millions d’orphelins, ce géant aura régné sur le cinéma français en interprétant les trois âges de la vie d’un homme : l’innocence, la maturité et la sagesse. Quarante-deux ans après sa mort, il n’y a pas eu d’équivalent. Le metteur en scène Bertrand Blier aura, à son sujet, cette phrase très belle : « On est attaché aux gens qui nous font penser à notre histoire. »

Gaëlle B. – Promotion Marc Aurèle

Notes

[1] Friedrich Nietzsche, La Généalogie de la morale, 1887.
[2] Émission « Cinéphile » n° 5, présentée par Olivier François
[3] Issu de la triade homérienne, devise de l’Institut Iliade, « La nature comme socle, l’excellence comme but, la beauté comme horizon »
[4] André Brunelin, Gabin, Robert Laffont, 1987.
[5] Ibidem.
[6] Michèle Morgan, Avec ces yeux-là, robert Laffont, 1977.
[7] Entretien accordé à la Tribune de Genève, 15 mai 1959.
[8] André Brunelin, Gabin, op.cit..
[9] Ibid.
[10] Site internet du RBFM
[11] André Brunelin, Gabin, op.cit..
[12] Florence Moncorgé-Gabin, Quitte à avoir un père, autant qu’il s’appelle Gabin, Le Cherche-Midi, 2003.
[13] André Brunelin, Gabin, op.cit..
[14] ’’Florence Moncorgé-Gabin, op.cit.
[15] André Brunelin, Gabin, op.cit..
[16] Florence Moncorgé-GABIN, op.cit.
[17] André Brunelin, Gabin, op.cit.
[18] Frédéric Rouvillois, Olivier Dard et Christophe Bouton (sous la direction de), Le Dictionnaire du conservatisme,, article « Cinéma » par Ludovic Maubreuil, éditions du Cerf, 2017.

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