Foire aux questions
L’Institut ILIADE accompagne tous ceux qui refusent le Grand Effacement, matrice du Grand Remplacement.
L’Institut traite de l’ensemble des aspects de la civilisation européenne, en insistant sur sa singularité, sa grandeur et son attrait toujours actuel. Il s’agit de fournir du sens et des repères, en particulier aux jeunes générations d’Européens qui seront confrontés aux conséquences vraisemblablement tragiques du “basculement du monde” en cours.
Quel est l’objectif de l’Institut ILIADE ?
Son objectif est d’inciter les peuples européens à un “grand ressourcement”, à une reconquête de la fierté de leurs origines, de leurs racines, en un mot de leur identité afin de refuser leur sortie de l’histoire, leur “grand effacement” – prélude à leur “grand remplacement” par des populations autres sur le sol de leurs ancêtres.
Concrètement, l’Institut ILIADE se donne pour vocation la transmission de la longue mémoire européenne. Cette volonté de transmission passe par des actions de formation, de réflexion, d’information et de communication (numérique, édition, colloques, etc.), afin de faire partager au plus grand nombre l’histoire et la mémoire de la civilisation européenne
Quel est le rapport entre l’Institut ILIADE et Dominique Venner ?
Avant son sacrifice volontaire, le 21 mai 2013 dans la cathédrale Notre-Dame de Paris, qui se voulait fondation tout autant que protestation, Dominique Venner avait exprimé le souhait que son œuvre puisse être poursuivie. A savoir un travail d’historien méditatif sur la longue histoire et la mémoire de l’Europe, en tant que matrice et levier de la prise de conscience du nécessaire réveil civilisationnel des peuples européens face aux dangers qui les menacent.
C’est dans le sillage de Dominique Venner que s’inscrit l’Institut ILIADE pour la longue mémoire européenne. Il ne s’agit pas d’étudier son œuvre, mais de la replacer dans la durée, d’en élargir la portée en direction d’un large public, de la resituer surtout au sein d’un corpus de valeurs éthiques, intellectuelles et comportementales qui est propre à la civilisation et à l’histoire européennes.
Quelles sont les activités de l’Institut ILIADE ?
Pour contribuer au maintien et à la transmission de l’identité de la France et de l’Europe, au réveil de nos peuples et de notre civilisation, l’Institut ILIADE entend sensibiliser et accompagner les personnes intéressées par des deux grands types d’actions :
- Des actions d’information et de communication, en production propre comme en écho à diverses autres initiatives concourant aux mêmes objectifs, via l’animation d’un site internet et de réseaux sociaux ou militants, des travaux de réflexion interne, des projets d’édition ou encore l’organisation d’un colloque annuel.
- Des actions de formation en direction de jeunes Européens, souvent victimes des ravages du système éducatif et du mainstream médiatique, mais désireux de disposer de clés de lecture opératives, d’approfondir la connaissance de leur identité comme potentiel de réaction dans un monde en crise.
Cette formation est organisée en promotions d’une vingtaine d’auditeurs qui suivent un cycle de cinq sessions sur une durée de 15 à 18 mois (quatre week-ends à Paris et un cinquième dans le cadre d’un voyage d’étude), chaque session associant conférences, débats et ateliers pratiques centrés autour des thématiques suivantes : Histoire, Histoire des idées, Stratégie et géopolitique, Critique du monde moderne – le dernier week-end étant consacré à une approche civilisationnelle plus globale autour de la triade homérique :
« La nature comme socle, l’excellence comme but, la beauté comme horizon ».
Qui est concerné par vos activités ?
Tout le monde est concerné par ce travail de réappropriation et de valorisation de la plus longue mémoire européenne. Si le public français et francophone est privilégié, ne serait-ce que parce que les productions de l’Institut seront pour l’essentiel écrites en français, des accords sont d’ores et déjà passés avec des associations espagnoles et italiennes pour relayer ses initiatives, et les adapter le cas échéant au terreau propre à leur peuple.
Comment participer ?
Il existe trois façons de contribuer aux activités de l’Institut :
- Intellectuelle, par la participation active aux travaux de l’Institut (formation, colloques, manifestations…)
- Militante, par la communication autour des initiatives de l’Institut, la diffusion de ses travaux, le repérage et l’orientation de personnes potentiellement intéressées – en particulier par les cycles de formation
- Financière, par une contribution régulière ou ponctuelle à l’organisation et au développement des activités de l’Institut.
Quelle est la cible des actions engagées ?
Les actions de formation s’adressent prioritairement aux jeunes Européens qui souhaitent retrouver les racines de leur identité dans un monde en crise.
Les actions de communication et de valorisation de cet héritage ciblent le grand public.
En quoi les initiatives de l’Institut ILIADE sont-elles différentes de ce qui se fait déjà, en termes de conférences et de formation, voire de recherche et d’études pour la civilisation européenne ?
L’objectif de l’Institut ILIADE n’est en aucun cas de se substituer à ce qui se fait déjà, parfois de manière très ancienne et efficace. Il est de compléter l’offre existante par la valorisation, dans tous les domaines, de la civilisation des peuples européens. Il est aussi de faire office de plateforme, de relais pour les meilleures initiatives participant de son objectif global de reconquête. Son action est à la fois propre et articulée avec l’existant.
L’originalité de l’ILIADE est, notamment par un travail de reformulation et d’actualisation des connaissances, d’allier le sérieux irréfutable des contenus à leur facilité d’appréhension par le plus grand nombre, en particulier par l’usage du numérique. L’objectif est de faire preuve d’une authentique pédagogie.
L’Institut ILIADE ne prétend donc pas à une refondation intellectuelle globale, à la production de nouveaux concepts. Il se veut plus didactique, à destination du grand public (et notamment des plus jeunes), en concentrant ses efforts sur la promotion de l’histoire, de l’identité et de la mémoire active des peuples européens. Une approche historique qui permet d’ailleurs, notamment, de considérer le cadre national comme une réalité incontournable au sein du vaste espace civilisationnel européen, même si ses formes et son devenir méritent d’être interrogés, y compris face au risque évident de grand remplacement.
Le nom d’Iliade n’est-il pas réducteur par rapport à la richesse de la civilisation européenne ?
Ce choix est évidemment un hommage explicite au texte homérique, ce “poème de la destinée” justement décrit par Dominique Venner. Mais avec celui-ci, il faut y voir “la source oubliée de notre tradition, l’expression grecque de tout l’héritage indo-européen, celte, slave ou nordique, avec une clarté et une perfection formelle sans équivalent”. L’Iliade reste d’une brûlante actualité pour qui cherche les sources et ressources nécessaires au réveil des peuples européens. L’Institut ILIADE s’inscrit dans cette filiation en réalité “boréenne”, afin de promouvoir et maintenir le patrimoine éthique et esthétique commun à l’ensemble des peuples européens, dans la diversité de leurs cultures particulières.