Élections européennes : le choix d’être « Européen d’abord » !
Derrière la compétition électorale entre « populistes » et « progressistes », ce sont bien deux visions du monde, deux façons d’être au monde, et à l’Europe, qui s’affrontent.
Derrière la compétition électorale entre « populistes » et « progressistes », ce sont bien deux visions du monde, deux façons d’être au monde, et à l’Europe, qui s’affrontent.
« Discriminer ou disparaître » est une alternative douloureuse dans une société où la simple constatation d’une différence nous est interdite sous couvert de lutte contre les discriminations.
La société inclusive, c’est comme l’eau miraculeuse de Lourdes : elle est censée faire disparaître les discriminations après les avoir immergées dans l’eau bénite de la diversité.
L’indécence de notre époque ne provient non pas d'un excès, mais bien d’un déficit de frontières. S’il n’y a plus de limites à c’est parce qu’il n’y a plus de limites entre.
L’actualité du moment, marquée par la proximité des élections prévues à la fin du mois de mai au sein de l’Union Européenne, nous commandait de soulever la question des frontières de l’espace que nous percevons naturellement comme le nôtre.
Ce samedi 6 avril, le VIe colloque de l’Institut Iliade a rassemblé plus de 1000 personnes à la Maison de la Chimie. Un succès de plus malgré la discrétion des médias centraux.
Ce que Thibault Mercier analyse ici sur le plan de la politique intérieure, est le même processus qui est à l’œuvre en politique extérieure avec la guerre du droit et la stratégie de l’intimidation.
« Discriminer ou disparaître » est une alternative douloureuse dans une société où la simple constatation d’une différence nous est interdite sous couvert de lutte contre les discriminations.