Parution du nouveau Cahier du Pôle études consacré au travail
Pourquoi parler du travail ? Parce qu’à mesure que se sont accélérées les révolutions technologiques, le travail a connu des mutations profondes.
« Vivre en Européen, c’est refuser d’être esclave de sa propre vie : c’est agir et être responsable des conséquences de ses actes. C’est épuiser tous les possibles tant qu’il en est encore temps. C’est préférer en toute circonstance la verticalité de l’attitude à l’horizontalité des pulsions et des besoins. C’est ne jamais se résoudre au désenchantement du monde, préférer comme Jose Antonio “brûler sa vie au service d’une grande cause”, et entrevoir la permanence du divin à travers “l’aurore aux doigts de rose” chantée par Homère, le vitrail d’une cathédrale, les frondaisons d’une forêt. »
Grégoire Gambier
Source : citations.institut-iliade.com
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Termes connexes : Europe, Univers esthétique des Européens, Élections européennes, Europe : l’heure des frontières, Européens : transmettre ou disparaître, Pour un réveil européen. Nature – Excellence – Beauté, Figures d’Europe
Pourquoi parler du travail ? Parce qu’à mesure que se sont accélérées les révolutions technologiques, le travail a connu des mutations profondes.
L'équilibre entre les sexes, essentiel à l'établissement d'une société saine, est plus que jamais mis en péril aujourd'hui.
Noël : fête de la famille et de la mémoire, fête de l'enfance dont le déroulement mêle des pratiques immémoriales liées à l'arbre et au foyer, l'affirmation des solidarités communautaires et la piété chrétienne.
Martin Buber (1878-1965) demeure une figure méconnue des Européens. Alain de Benoist lui consacre sa dernière monographie.
Le thème européen a longtemps opposé les tenants d’une gauche eurofédéraliste et ceux d’une droite souverainiste. Or, pour David Engels, l’un et l’autre camp font fausse route.
Derrière la compétition électorale entre « populistes » et « progressistes », ce sont bien deux visions du monde, deux façons d’être au monde, et à l’Europe, qui s’affrontent.
Pour beaucoup de nos compagnons de route, s’affirmer en tant qu’« Européen » est bien souvent l’objet d’importantes réticences.
L’intégration européenne, par sa supranationalité, est antithétique de la patrie européenne, la terre des pères.