Ce qui subsiste des traditions religieuses, dans l’actualité de notre monde désacralisé, ce ne sont guère plus que les usages profanes, ceux qui sont en rapport avec la vie courante.
Des images, des symboles vivants : l’amour d’une mère, le déchirement de son cœur, la félonie d’un Judas, la souffrance d’un Crucifié… Des images : non pas des idées, encore moins des dogmes, des péchés ou des culpabilités.