N’y a-t-il qu’un dieu pour nous sauver ?
Dans son dernier ouvrage, Javier Portella nous emmène à la recherche du divin ayant déserté notre monde.
Dans son dernier ouvrage, Javier Portella nous emmène à la recherche du divin ayant déserté notre monde.
Ce petit volume habile, synthétique et exhaustif, est le bienvenu pour un éclairage conceptuel à l’intérieur du milieu identitaire européen dans son ensemble.
Une charge puissante et altière contre la « révolution petite-bourgeoise » qui a vidé de toute substance la vie de bon nombre de nos contemporains.
À l'heure du désenchantement de notre civilisation, les divinités de la nature se rappellent à nous pour ceux qui savent voir, écouter et faire vibrer la corde sensible du sacré. Le printemps reviendra.
Au cœur de la Provence, aux sources de la fête de la Saint Éloi, patron des ouvriers et artisans travaillant les métaux, et des agriculteurs.
Paul Valéry déclarait en 1919 : « Nous autres civilisations, savons maintenant que nous sommes mortelles ». C’est aussi ce qu'Oswald Spengler affirme avec force.
À la suite de Dumézil, de Duby et de Le Goff, Claude Lecouteux a entrepris une authentique archéologie de l’imaginaire européen.
La notion d’identité, qui a massivement investi le champ des sciences sociales depuis une quarantaine d’années, apparaît aujourd’hui comme une notion incontournable, tant au niveau individuel que collectif.