La France sous nos yeux, un chantier d’« archéologie culturelle »
Après L’Archipel français, le sondeur Jérôme Fourquet livre ici une nouvelle radiographie de la France, en collaboration avec le journaliste Jean-Laurent Cassely.
Après L’Archipel français, le sondeur Jérôme Fourquet livre ici une nouvelle radiographie de la France, en collaboration avec le journaliste Jean-Laurent Cassely.
La nature vérifie des principes que l'homme ne peut impunément dédaigner. Décideurs et dominants peuvent toujours se déclarer écologistes, s'ils persistent à les ignorer, ils ne doivent pas s'étonner de s'exposer à des sanctions.
Nous vivons l’époque des évidences oubliées. Répétons-nous donc. La nature, c’est tout ce qui, dans l’univers, n’est pas fait de main d’homme. Tout ce que homo faber, dans son obsession du contrôle total, ne contrôle, justement, pas.
L’affirmation que tout est commuable et commensurable est la plus anti-écologiste qui soit, et des écologistes ne peuvent y souscrire qu’au prix d’une escroquerie manifeste.
Les Européens doivent protéger leur territoire. De l’immigration qui envahit. Du tourisme de masse qui tue ce qu’il vient chercher. De la « croissance » qui consomme ce qui est le plus rare : l’espace.
Un texte à l'étrange résonance, tiré des Poneys sauvages, le grand roman de Michel Déon paru en 1970 aux éditions Gallimard.
La pandémie de Covid-19 ne manquera pas de marquer durablement les sociétés européennes. Fin du système mondialisé ? Renforcement de la conscience écologiste ?
Prendre la nature comme socle, c’est la respecter. C’est refuser son arraisonnement violent par le système marchand. C’est s’opposer à l’industrialisation du vivant. Sans pour autant tomber dans les délires végans autant hors sols que bien des abattoirs.