Alain de Benoist nous offre la fresque d’une des pensées les plus vastes du XXème siècle et retrace l’itinéraire hors normes de « l’homme aux quatorze blessures ».
Traduit de l’allemand par Henri Thomas, et paru en 1995 aux discrètes éditions La Délirante, pour le centième anniversaire de l’auteur, Aphorismes est peut-être avant toute chose un très bel objet de collection.
La guerre comme fait total a entretenu, dès ses origines, d’étroites sinon d’intimes relations avec l’art sous toutes ses formes et n’a cessé de le faire en traversant le temps.
Intervention de Grégoire Gambier, Délégué général de l’Institut Iliade, au premier Jeudi de l’Iliade organisé à la Nouvelle Librairie à Paris le 6 juin 2019.
L’actualité du moment, marquée par la proximité des élections prévues à la fin du mois de mai au sein de l’Union Européenne, nous commandait de soulever la question des frontières de l’espace que nous percevons naturellement comme le nôtre.
Il y a bientôt quatre ans, j’évoquais Livr’Arbitres, revue littéraire fondée en pays messin vers la fin de l’autre siècle par deux confrères, le voyageur Patrick Wagner et le tankiste Laurent Schang. Après des numéros spéciaux consacrés à Déon, Chardonne, Mohrt, Livr’Arbitres maintient le cap non-conformiste et continue d’organiser des soirées littéraires.
Côté français, c’est la bataille des Eparges. Côté allemand, la bataille de Combres, du nom du village situé au pied des côtes. Bilan : 12.000 pertes pour les deux camps, sur 800 mètres de front.
Assassiné par le pouvoir gaulliste en 1963, son souvenir cantonné aux cercles des nostalgiques de l’Algérie française, Jean de Brem propose pourtant une réflexion intéressante et unique sur l’Europe dans son Testament d'un Européen.