L’amour de la civilisation européenne : bientôt objet d’un nouvel interdit ?

Mise à jour au 1^er mars 2025 – En novembre dernier, l’Institut Iliade organisait un dîner de gala à Paris et lançait à cette occasion l’idée d’une Maison des Européens, lieu de rencontre affinitaire entre amoureux de la culture et de la civilisation européenne.

En tordant de manière ubuesque les textes de présentation du projet, un obscur folliculaire de Libération dénonça une maison « réservée » aux Européens. Un peu comme si le Cercle Suédois était réservé aux Scandinaves et le Centre culturel et social des Antillais à Paris interdit aux non Antillais. Pourtant, les affabulations du quotidien d’extrême gauche subventionné ont prospéré.

Fidèle à l’esprit du camarade Staline, le sénateur communiste Ian Brossat a procédé à un signalement auprès du procureur. Tout comme les sycophantes de SOS-Racisme. Et même – ce qui est plus préoccupant – le préfet de police de Paris, à la remorque de l’extrême gauche. Incapable d’assurer la sécurité de ses troupes à quelques encablures de la Tour Eiffel, Laurent Nuñez reste un flic de la pensée particulièrement vigilant.

Quoi qu’il en soit, l’Institut Iliade ne se laissera pas intimider et continuera son travail de réflexion, de formation et de transmission de la civilisation européenne et de ses valeurs. À commencer par la défense des libertés d’expression et de réunion qui en sont l’un des fondements.

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Rassembler tous les amoureux de l’Europe (4 février 2025) – Depuis sa fondation, l’Institut Iliade s’attache à défendre la pérennité et l’avenir de l’esprit européen. Offrir un lieu de rencontre ouvert à tous les Européens, par-delà les différences et les frontières nationales, s’inscrit naturellement dans cette démarche.

Quand un « lieu pour les Européens » devient en couverture de Libération un « club privé fermé aux non-Européens », puis un lieu « réservé aux blancs » sur les réseaux sociaux de la gaucho-sphère, on attend une enquête des « fact-checkers » du Monde sur cette manipulation criante de l’information.

Est-il encore possible de manifester son attachement à nos cultures, sans subir les foudres inquisitoriales wokistes ? Sera-t-il encore possible de réunir demain des amicales de Bretons ou de Portugais, sans que les indicateurs subventionnés de Libération ne s’émeuvent ?

Ce projet ne vise pas à exclure mais, au contraire, à rassembler tous les amoureux de l’Europe. Il est porté par l’Institut Iliade, et ne saurait engager toutes celles et ceux à qui il a été présenté.