La France sous nos yeux, un chantier d’« archéologie culturelle »
Après L’Archipel français, le sondeur Jérôme Fourquet livre ici une nouvelle radiographie de la France, en collaboration avec le journaliste Jean-Laurent Cassely.
Après L’Archipel français, le sondeur Jérôme Fourquet livre ici une nouvelle radiographie de la France, en collaboration avec le journaliste Jean-Laurent Cassely.
Au cours des dernières décennies, le souci de la cause animale n’a cessé de progresser. À l’heure de la « Ferme des mille vaches », des élevages en batterie et autres abominations de l’élevage industriel, on aurait toutes raisons de s’en réjouir.
Les enseignements des élections municipales françaises en juin dernier ont mis en exergue le besoin de composer avec l’impératif écologique, qu’il soit vécu, surjoué ou encore exploité.
N'en déplaise aux métaphysiciens évaporés, la question de l'être est d'abord celle de l'économie, c'est-à-dire de la production des biens matériels et de leurs échanges, et de la science.
La nature vérifie des principes que l'homme ne peut impunément dédaigner. Décideurs et dominants peuvent toujours se déclarer écologistes, s'ils persistent à les ignorer, ils ne doivent pas s'étonner de s'exposer à des sanctions.
Nous vivons l’époque des évidences oubliées. Répétons-nous donc. La nature, c’est tout ce qui, dans l’univers, n’est pas fait de main d’homme. Tout ce que homo faber, dans son obsession du contrôle total, ne contrôle, justement, pas.
L’affirmation que tout est commuable et commensurable est la plus anti-écologiste qui soit, et des écologistes ne peuvent y souscrire qu’au prix d’une escroquerie manifeste.
Les Européens doivent protéger leur territoire. De l’immigration qui envahit. Du tourisme de masse qui tue ce qu’il vient chercher. De la « croissance » qui consomme ce qui est le plus rare : l’espace.