Théâtre : Jeanne et les post-humains
Cette pièce nous plonge en plein milieu d’une dystopie dans laquelle l’humanité aurait enfin atteint un bien-être matériel tel qu’il lui garantirait un bonheur universel.
Cette pièce nous plonge en plein milieu d’une dystopie dans laquelle l’humanité aurait enfin atteint un bien-être matériel tel qu’il lui garantirait un bonheur universel.
Avec son dernier recueil, Bruno Lafourcade a voulu présenter, par le biais d’une centaine de chroniques qui sont autant d’anathèmes et de fulminations, le portrait d’une certaine France, celle de M. Macron et des hyperféministes, celle des théoriciens de la dislocation des héritages et des créatures télévisuelles.
Prendre la nature comme socle, c’est la respecter. C’est refuser son arraisonnement violent par le système marchand. C’est s’opposer à l’industrialisation du vivant. Sans pour autant tomber dans les délires végans autant hors sols que bien des abattoirs.
Le culte des héros, par delà les siècles et malgré le règne de l’individualisme marchand, continue de vivre dans l’esprit de nos contemporains. Nous reproduisons à ce titre les textes d’une série de conférences d’Ivan Blot consacrées à l’homme héroïque.
Conclusions de Jean-Yves Le Gallou, co-fondateur de l’Institut ILIADE, lors du colloque « Européens : transmettre ou disparaître » le 18 mars 2017.
La notion d’identité, qui a massivement investi le champ des sciences sociales depuis une quarantaine d’années, apparaît aujourd’hui comme une notion incontournable, tant au niveau individuel que collectif.
Le personnage principal de la philosophie antique, c’est le monde, c’est le cosmos. Le personnage principal de la philosophie médiévale, c’est Dieu. Le personnage principal de la philosophie moderne, à partir de Kant, c’est l’homme.
Une sélection d'ouvrages de Maurice Bardèche, Alain de Benoist, Gaston Bouthoul, Jean-Yves Calvez, Daniel Cologne, Stéphane Courtois, Régis Debray, Jean-Marie Domenach, Julius Evola...