Carl Schmitt (1888-1985) fut un juriste qui a passé sa vie à réfléchir politiquement sur les fondements de l’État et la nature des relations internationales.
L’institut Iliade devait tenir le 25 avril son VIIe colloque sur le thème : « la nature comme socle ». Par un singulier rappel à l’ordre de la nature, le Conoravirus 19 a conduit à reporter cette manifestation.
Ce texte constitue l’introduction au livre de D.N. Pavón, "La loi de fer de l’oligarchie (Pourquoi le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple est un leurre)". Il s’agit d’un texte important, à la fois leçon de science politique, par nature intemporelle, et réflexion indispensable au décryptage du réel en ces « temps de confusion ».
Si l’illusion mondialiste soutient que les frontières sont non seulement contraignantes mais encore inutiles, nous allons tenter de montrer par cette intervention en quoi ces dernières sont au contraire un indispensable outil de distinction permettant aux cultures et aux civilisations de s’épanouir et de se développer davantage en paix.
Il y a bientôt quatre ans, j’évoquais Livr’Arbitres, revue littéraire fondée en pays messin vers la fin de l’autre siècle par deux confrères, le voyageur Patrick Wagner et le tankiste Laurent Schang. Après des numéros spéciaux consacrés à Déon, Chardonne, Mohrt, Livr’Arbitres maintient le cap non-conformiste et continue d’organiser des soirées littéraires.
En Europe, une obligation pénitente de repentance, couplée à un enseignement de l’Histoire sans chronologie et qui fait la part belle aux cultures et civilisations étrangères, empêchent notre peuple de convoquer son passé collectif.
Une sélection d'ouvrages de Maurice Bardèche, Alain de Benoist, Gaston Bouthoul, Jean-Yves Calvez, Daniel Cologne, Stéphane Courtois, Régis Debray, Jean-Marie Domenach, Julius Evola...