Morale et hypermorale, d’Arnold Gehlen
La traduction en français de Morale et hypermorale, dont la première édition allemande date de 1969, est une nouvelle contribution à la réception de la pensée d’Arnold Gehlen (1904-1976).
« La chair est triste, hélas ! et (je n’ai pas) lu tous les livres. » Il se publie chaque année des livres par milliers. Le Pôle Études publie des recensions sur des ouvrages susceptibles de nourrir la réflexion autour des thèmes développés par l’Institut Iliade, parus à date plus ou moins récente.
La traduction en français de Morale et hypermorale, dont la première édition allemande date de 1969, est une nouvelle contribution à la réception de la pensée d’Arnold Gehlen (1904-1976).
En s’inscrivant dans la lignée de nombreux intellectuels, Bégout considère comme un échec cette époque contemporaine qui, pourtant pétrie de technique, s’avère incapable de construire pour durer.
La parution du petit ouvrage de Patrice Lajoye qui fait la synthèse des connaissances sur la religion et la mythologie des anciens Slaves vient combler une lacune.
Après L’Archipel français, le sondeur Jérôme Fourquet livre ici une nouvelle radiographie de la France, en collaboration avec le journaliste Jean-Laurent Cassely.
Le « militantisme académique », dénoncé par la sociologue Nathalie Heinich, conduit à un appauvrissement progressif de la production scientifique.