Parution : Frédéric Mistral. Patrie charnelle et Provence absolue
La collection Longue Mémoire de l’Institut Iliade édite aujourd’hui un nouvel essai de ce membre du Félibrige qui nous fait découvrir le vate provençal qu’était Frédéric Mistral.
La collection Longue Mémoire de l’Institut Iliade édite aujourd’hui un nouvel essai de ce membre du Félibrige qui nous fait découvrir le vate provençal qu’était Frédéric Mistral.
À l’heure de la domination planétaire de la technique et de la dévastation, est-ce encore possible, sans naïveté, d’en appeler à Orphée, ce très vieux et très jeune Grec, pour comprendre le monde ?
Orphée et Eurydice. Un couple mythique, s’il en est, qui résonne dans notre longue mémoire et qui lie à jamais le chant poétique au premier des poètes, celui-là même dont Mallarmé dira qu’il est « Avant Homère ».
Qui ne connaît pas Hermès, fils de Zeus et de la nymphe Maïa, protecteur des voyageurs et des voleurs, messager des dieux ?
Les Titans et les dieux ne relèvent pas de l’ « imagination fantastique » mais de l’ « imagination vraie », de cette réalité intermédiaire entre le sensible et l’intelligible qu’est le « mundus imaginalis » ; autrement dit, les Titans et les dieux sont, participent à l’être et nous font signe.
« Jeudi de l’Iliade » du 9 janvier 2020. Philosophe au marteau, Nietzsche brise les idoles métaphysiques, religieuses, morales et politiques que les hommes se construisent par faiblesse et ressentiment à l’endroit de la vie.
Après des numéros spéciaux consacrés à Déon, Chardonne, Mohrt, Livr’Arbitres maintient le cap non-conformiste et continue d’organiser des soirées littéraires.
A la fin du XIXème siècle, le jeune Maurice Barrès proclame que « la terre nous donne une discipline, et (que) nous sommes le prolongement des ancêtres. » Son confrère Paul Léautaud rétorque : « Philosophie d’esclave ! L’enseignement des morts ! N’est-ce pas assez de les subir en soi forcément, sans encore se plier volontairement à eux ? »