Alors que le confinement nous empêche de redécouvrir les itinéraires immémoriaux de notre vieille Europe, Sylvain Tesson et Christophe Raylat nous entraînent « dans le sillage d’Ulysse ».
Le culte des héros, par delà les siècles et malgré le règne de l’individualisme marchand, continue de vivre dans l’esprit de nos contemporains. Nous reproduisons à ce titre les textes d’une série de conférences d’Ivan Blot consacrées à l’homme héroïque.
La guerre comme fait total a entretenu, dès ses origines, d’étroites sinon d’intimes relations avec l’art sous toutes ses formes et n’a cessé de le faire en traversant le temps.
Un été avec Homère… Quelle belle idée, n’est-ce pas ? Mais, me direz-vous, pourquoi justement ne pas se « contenter » de lire l’Iliade et l’Odyssée plutôt qu’une nouvelle « analyse » sur les œuvres du divin aède ?
Fiers d’être Européen ? C’est un contrat ambitieux. Mais qu’est-ce que cela signifie, au juste, être Européen, ou vivre en Européen ? Il est de bonne pédagogie, face à une telle question, de suivre un conseil de Machiavel.
Extrait de l’ouvrage collectif de l’Institut ILIADE Ce que nous sommes - Aux sources de l’identité européenne, par Grégoire Gambier (Pierre-Guillaume de Roux éditeur, lancement officiel à l’occasion du colloque annuel de l’ILIADE, le 7 avril 2018 à Paris).
Faire le choix de la préférence civilisationnelle, réagir à la déconstruction en cours, chercher dans un nouvel héroïsme la voie du salut de nos communautés, tout cela nous permettra d’entretenir la flamme vacillante des temps obscurs jusqu’au retour victorieux de la lumière.
Ouvert par le cataclysme de la Première Guerre Mondiale, le cycle du « sombre vingtième-siècle » a plongé l’Europe dans une crise de civilisation sans précédent, l’amenant à secréter elle-même, à travers les idéaux faisandés d’un universalisme ennemi des nations et des peuples, le poison du « grand effacement » qui menace de détruire jusqu’aux racines de son génie.
Ouverture du colloque « Européens, transmettre ou disparaître » : Qui sommes-nous si nous ne sommes pas maîtres de nous, chez nous ? Par Grégoire Gambier, porte-parole de l’Institut ILIADE.
3e anniversaire du sacrifice volontaire de Dominique Venner pour sortir les peuples européens de leur dormition. « Nous sommes les enfants d’Ulysse et de Pénélope » : Dominique Venner répond aux questions de la journaliste Laure Destrée pour La Nouvelle Revue d'Histoire (juin 2009).