Quantitatif et qualitatif : de la valeur travail à l’idée de création
Michel Maffesoli vous donne rendez-vous le samedi 5 avril 2025 à La Maison de la Chimie.
Michel Maffesoli vous donne rendez-vous le samedi 5 avril 2025 à La Maison de la Chimie.
Ennemi du politiquement correct par son esprit libre, l’auteur nous livre dans son dernier essai son analyse historique et sociologique de l’effervescence populaire grondant en ces temps de « psychopandémie » gouvernée par un « totalitarisme doux ».
À la figure de “Prométhée”, qui fut la figure emblématique de la Modernité est en train de se substituer celle de Dionysos. Dieu chtonien, c’est à dire dieu de cette terre-ci, dieu autochtone.
L’idée-principe de la modernité reposait sur la séparation entre la culture et la nature. L’homme était considéré « comme maître et possesseur de la nature » (Descartes). Cette domination forcenée a abouti à la dévastation du monde.
Jean-Yves Le Gallou nous appelle à travers son dernier livre Européen d’abord, essai sur la préférence de civilisation (Via Romana) à nous définir d’abord comme des Européens de langue et de culture française, s’appuyant sur un sentiment d’appartenance civilisationnelle plus prégnant qu’une nationalité désormais dévaluée.
S’il ne fera pas l’unanimité, l’essai de Jérôme Blanchet-Gravel est une lecture néanmoins nécessaire. Ses deux cents et quelques pages précisent non seulement le multiculturalisme mais aussi les termes de la fracture intellectuelle – et donc potentiellement politique – latente entre un nationalisme classique et la mouvance identitaire.
L’Europe comme civilisation peut-elle encore survivre ? Oui, à une condition, qu’elle sorte de l’horrible XXème siècle ! Le XXème siècle c’est, selon Dominique Venner, « Le siècle de 1914 ». Un siècle de catastrophes.
La notion d’identité, qui a massivement investi le champ des sciences sociales depuis une quarantaine d’années, apparaît aujourd’hui comme une notion incontournable, tant au niveau individuel que collectif.