Ennemi du politiquement correct par son esprit libre, l’auteur nous livre dans son dernier essai son analyse historique et sociologique de l’effervescence populaire grondant en ces temps de « psychopandémie » gouvernée par un « totalitarisme doux ».
L’histoire fascinante des résistants cévenols prêts à mourir au nom de leur liberté de conscience donne à réfléchir en ces temps de coronavirus.
Ceux qui seront « libres » en France demain ne seront pas les Français mais ceux – d’où qu’ils viennent – qui auront un code QR dont l’authenticité aura pu être vérifiée.
Ce délire autoritariste n’est pas neutre : il sert les intérêts des « dealers » de propagande comme ceux des commerçants à distance : Amazon, Ubereats, Deliveroo et tant d’autres.
Les Européens doivent protéger leur territoire. De l’immigration qui envahit. Du tourisme de masse qui tue ce qu’il vient chercher. De la « croissance » qui consomme ce qui est le plus rare : l’espace.
Entretien avec André Archimbaud à l’occasion de la sortie de son nouveau livre : Anahita et la vipère des sables (un confinement peut en cacher un autre).
30 000 morts en France à la fin du premier épisode épidémique (fin mai), c’est plus qu’une grippe saisonnière tuant 10 000 à 15 000 personnes. Ce n’est pas non plus une grande peste.
Un texte à l'étrange résonance, tiré des Poneys sauvages, le grand roman de Michel Déon paru en 1970 aux éditions Gallimard.
