Une théorie des civilisations dans les années 1920-1940 : Feliks Koneczny
« Il n’est pas possible d’être civilisé de deux manières », dit Feliks Koneczny. Cette formule est vertigineuse. Elle bat en brèche l’universalisme.
« Il n’est pas possible d’être civilisé de deux manières », dit Feliks Koneczny. Cette formule est vertigineuse. Elle bat en brèche l’universalisme.
Et si comprendre le destin de l’Europe supposait d’abord de comprendre ce qu’est une civilisation ?
Face à l’oubli qui menace l’Europe, Jean Montalte, auditeur de la promotion Léonidas, interroge l’histoire, la philosophie et la poésie pour éclairer le destin de notre civilisation.
Le mot d’Occident est aujourd’hui plus que jamais dans toutes les bouches, accusant les accents dramatiques d’une fin de règne. Pourtant, sa signification a subi des revirements considérables.
À l’approche des élections européennes de juin 2024, l’Institut Iliade pour la longue mémoire européenne initie une réflexion de fond sur l’Europe et son avenir.
À l’occasion de la publication de ce manifeste, l’Institut Iliade lance un appel « aux jeunes européens », placardé à des milliers d’exemplaires dans plusieurs villes de France et dans des lieux symboliques.
Tant pour les Grecs que les Latins, les Celtes, les Germains, les Baltes ou les Slaves, l’ordre du monde s’articule autour de trois fonctions hiérarchiquement ordonnées, nécessaires à l’équilibre de l’univers et au bon fonctionnement de la société.
L’emploi de la notion de « judéo-christianisme » procède d’un raccourci contestable, impropre à définir l’essence de notre civilisation.