Maintien de l’ordre ? Le préfet de police marche sur la tête

L’Institut Iliade exprime sa vive compassion aux victimes, dans leur intégrité physique ou dans leurs biens, des émeutes du 31 mai.

Il déplore l’échec du préfet de police de Paris à maintenir l’ordre public MATÉRIEL. Il semble que M. Nuñez soit davantage préoccupé par la défense de l’ordre public IMMATÉRIEL, c’est-à-dire la bienséance idéologique ; il vient d’ailleurs d’adresser, en date du 13 mai 2025, un mémoire en défense de ses interdictions de réunions liberticides au tribunal administratif de Paris. Dans ce mémoire, il lui demande de considérer comme des « idées de haine » (sic) la « dénonciation du grand remplacement » (dont on a vu les bienfaits sur les Champs-Élysées) et « la défense de la civilisation européenne ».

Peut-on combattre la barbarie (dixit le ministre d’État Retailleau) et criminaliser les défenseurs de la civilisation ? Ceux qui souffrent d’exactions violentes comme ceux qui subissent des persécutions dans leurs libertés sont les victimes d’un système qui marche sur la tête.

[L’Iliade reviendra en temps voulu sur l’invraisemblable mémoire du préfet de police en date du 13 mai 2025.]