Réalisme politique : rencontre avec Antoine Dresse
La parution d’un lumineux essai dû à la plume d’un jeune penseur liégeois était l’occasion de mieux faire connaître un itinéraire non conformiste et comme à rebours du siècle.
La parution d’un lumineux essai dû à la plume d’un jeune penseur liégeois était l’occasion de mieux faire connaître un itinéraire non conformiste et comme à rebours du siècle.
Les nobles voyageurs, quel titre fascinant pour une invitation au voyage dans un univers littéraire aussi vaste que peu visité.
Christopher Gérard nous enchante d’une version remaniée de son roman Maugis, publié une première fois en 2005. Derrière ce titre étrange vous attendent des pages vibrantes de pure poésie.
Christopher Gérard est déjà l’auteur de quatre romans : Maugis, Le songe d’Empédocle, Porte Louise et Vogelsang. Son œuvre s’enrichit pour notre plus grand plaisir du Prince d’Aquitaine, paru le 30 août aux éditions Pierre-Guillaume de Roux.
Honneur au confrère Olivier Maulin, qui, dans une magnifique chronique littéraire (Valeurs actuelles du 31 août dernier), attirait l’attention de ses lecteurs sur un écrivain qualifié, à juste titre, d’immense. Dithyrambiques, Maulin & Gérard ? Bluffés, partisans ?
Ce qui distingue une grande civilisation, n’est-ce pas, entre autres qualités, son aptitude à transmettre l’héritage ancestral, sa capacité d’assurer la continuité de dessein qui la fait survivre aux aléas de l’histoire ?
L’historien romain Suétone nous apprend que Jules César, de ses propres deniers, leva une légion composée de Gaulois transalpins et qui reçut le nom, celtique, de l’alouette – alauda.
En France, le combat politique et celui des idées est un « combat de civilisation ». Ce qui se joue, c’est la nécessité pour les Français et les Européens de renouer avec le fil de leur tradition.