Ce que les peuples racine ont à nous dire, de Frederika Van Ingen
Frederika Van Ingen n’est ni anthropologue, ni médecin, ni écologue ; c’est en tant que journaliste qu’elle s’intéresse à la question de la santé, du bien-être et de l’environnement.
« La chair est triste, hélas ! et (je n’ai pas) lu tous les livres. » Il se publie chaque année des livres par milliers. Le Pôle Études publie des recensions sur des ouvrages susceptibles de nourrir la réflexion autour des thèmes développés par l’Institut Iliade, parus à date plus ou moins récente.
Frederika Van Ingen n’est ni anthropologue, ni médecin, ni écologue ; c’est en tant que journaliste qu’elle s’intéresse à la question de la santé, du bien-être et de l’environnement.
Le choix de proposer une vaste fresque historique, sans sacrifier la minutie, le goût du détail, n’est pas le moindre mérite de l’ouvrage de Steven L. Kaplan.
Quel peut donc être, pour le lectorat européen de l’an 2025, l’intérêt de cette réédition d’une œuvre si marquée par les querelles esthétiques et nationales de son temps ?
Loin d’un simple inventaire, Dominique Briquel poursuit l’héritage de Dumézil à travers des études comparatives où Grèce, Rome, Inde et traditions germaniques dialoguent.
Dépressions, scarifications, comportements autoagressifs ou encore suicides… les enfants et adolescents modernes sont devenus une « génération anxieuse ».
Dans Extension du domaine du capital, Jean-Claude Michéa poursuit sa critique du libéralisme en l’analysant depuis la « France périphérique », où il vit désormais.
L’auteur plante ici les germes d’une intuition globale sur la compréhension des systèmes complexes, de la physique à la sociologie en passant par la biologie.
Conduite au cours des années 2010 dans la « ruralité profonde » du Grand Est, cette étude complète une série de travaux désormais éprouvés.