La langue au-dessus de tout. Une identité incontestée, par François Crouzet
Y aurait-il une fatalité ? Le français serait-il voué à se scléroser en langue morte ou à se dégrader en patois banlieusard ?
Y aurait-il une fatalité ? Le français serait-il voué à se scléroser en langue morte ou à se dégrader en patois banlieusard ?
La Renaissance aura enseigné à la France le culte de la beauté plastique et, en faisant de l’imitation le principe fondamental de toute œuvre littéraire, elle aura ainsi rendu possible l’éclosion de la pensée classique.
Au XVIe siècle, une jeune Pléiade osera le pari fou de faire du français une langue littéraire.
À l’heure où l’Europe est plongée dans une confusion certaine, quel intérêt aurions-nous à entamer un combat pour défendre notre langue ?
Dans un nouvel ouvrage, Alain de Benoist et Guillaume Travers présentent un véritable condensé de culture européenne à défendre.
L'Institut ILIADE a inauguré, en partenariat avec La Nouvelle Librairie, une collection à destination des plus jeunes, dirigée par Anne-Laure Blanc, membre du premier cercle de l'Institut ILIADE.
La collection Longue mémoire de l'Institut Iliade, publiée aux éditions de la Nouvelle Librairie, et dirigée par Guillaume Travers, vise à devenir la collection de référence pour connaître, comprendre et transmettre l'héritage civilisationnel européen.
Le romantisme, on le sait, a été un mouvement tourné vers les traditions, après les excès rationalistes du siècle des Lumières – et l’on ne saurait trop conseiller aux jeunes Européens d’aujourd’hui d’en explorer les recoins.