Polychromie blanche
Qui sont les Blancs ? Une question qui ne demande ni un mot d’ordre ni une posture, mais un détour par la culture.
Chaque mois sur Radio Courtoisie, Romain Petitjean accueille de nouveaux invités pour analyser les tendances de fond qui marquent notre civilisation. Au-delà des écumes et des ressacs de l’actualité, son équipe entend prendre de la hauteur afin de révéler les grandes permanences, mais aussi les ruptures majeures qui marquent aujourd’hui la France et l’Europe.
Tous les sujets sont traités, de l’anthropologie culturelle à l’histoire de la pensée et des religions, en passant par l’écologie, l’économie, l’esthétique, ou la géopolitique, le tout sous le signe de la longue mémoire et du devenir. L’équipe de ce nouveau rendez-vous, à travers des entretiens, reportages et débats, propose aux auditeurs de Radio Courtoisie LE rendez-vous du ressourcement identitaire ! Celui qui permet de se réarmer intellectuellement et moralement afin de défendre et de projeter dans l’avenir notre longue civilisation française et européenne menacée par le remplacement de population et l’effacement mémoriel.
Qui sont les Blancs ? Une question qui ne demande ni un mot d’ordre ni une posture, mais un détour par la culture.
Le Libre Journal Vive la civilisation européenne reçoit Julien Rochedy pour son livre événement « Qui sont les Blancs ? Généalogie d’une identité interdite. »
Pour aller en profondeur dans les eaux troubles de la politique française et européenne, mieux vaut s’embarquer avec un capitaine au long cours.
Héritage direct de la Seconde Guerre mondiale, la conquête spatiale fascine autant qu’elle interroge.
Peu d’expressions culturelles participent autant que la langue à la diversité du monde.
Les rituels consistent en la répétition de gestes invariables et atemporels. Cette immuabilité réunit corps et esprit, trop souvent divorcés par l’époque et la vie.
Cette émission est une réflexion de circonstance consacrée au sens des vacances et aux défis du tourisme contemporain.
Il n’y a rien d’impudique à exposer fièrement ses racines à l’air libre. Au contraire. Les racines sont comme la peau : visibles, tangibles, profondes.