Dominique de Roux parmi nous
« Il n’a pas été remplacé et il nous manque beaucoup » disait le regretté Pol Vandromme en parlant de son ami Dominique de Roux (1935-1977), éditeur de deux revues mythiques Les Cahiers de l’Herne et Exil, fondateur des éditions Christian Bourgois et de la collection 10/18, écrivain aux fulgurances inouïes.
Chaque peuple porte une tradition…
Chaque peuple porte une tradition, un royaume intérieur, un murmure des temps anciens et du futur. La tradition est ce qui persévère et traverse le temps, ce qui reste immuable et qui toujours peut renaître en dépit des contours mouvants, des signes de reflux et de déclin.
Lecture dissidente : Ce que nous sommes
Face aux lubies qui menacent les peuples européens, la rectitude politique, la réécriture de leur l’histoire, la repentance et le Grand remplacement, il se devait d’y avoir riposte. C’est chose faite avec « Ce que nous sommes », mi-manifeste, mi-manuel.
Aux sources de l’identité européenne (Collectif Iliade)
Le président de l’Institut Iliade pour la longue mémoire européenne, Philippe Conrad, un historien, a réuni pour écrire ce manifeste qu’est « Ce que nous sommes : Aux sources de l’identité européenne » (Pierre-Guillaume de Roux, éditeur) un panel d’essayistes de formations, de professions et de passions diverses.
Avec Dominique Venner
Sans être dupe, Venner se félicitait d’avoir pu connaître « le couple divin, le courage et la peur » chanté jadis par Drieu après la charge de Charleroi, ainsi qu’une guerre quasi féodale, la dernière (?) qui laissât encore l’initiative à l’individu plutôt qu’à la machine. S’il ne cachait pas la face atroce de sa guerre d’Algérie, où il découvrit la cruauté pure (« un enfant charcuté comme un lièvre »), Venner décrivait bien la trahison de l’arrière, le masochisme haineux des progressistes, leur veulerie à prétentions humanitaires.
Le défi d’une utopie : « La face cachée du multiculturalisme »
S’il ne fera pas l’unanimité, l’essai de Jérôme Blanchet-Gravel est une lecture néanmoins nécessaire. Ses deux cents et quelques pages précisent non seulement le multiculturalisme mais aussi les termes de la fracture intellectuelle – et donc potentiellement politique – latente entre un nationalisme classique et la mouvance identitaire.
Déchirer les ombres, d’Erik L’Homme
Ce livre est un chant d’amour et de mort(s), où le lecteur embarque avec Scrofa, ancien officier des forces spéciales, et Anastasia, jeune fille qui se croit déjà grande.
Immigration : Enoch Powell, le prophète diabolisé
Le 20 avril 1968, Enoch Powell, grande figure du conservatisme anglais et promis aux plus hautes fonctions, avait décidé d’évoquer ses craintes avec les citoyens de son pays.
Refuser la repentance coloniale
La loi dite « Taubira » qualifie de crime contre l’humanité la traite esclavagiste. Mais pas n’importe quelle traite esclavagiste : la seule et unique traite esclavagiste européenne.
L’héritage de la chrétienté médiévale
Au moment où s’achève le cycle individualiste, hédoniste et libéral issu des Lumières, il est devenu indispensable d’analyser et d’évaluer exactement cet héritage trop longtemps occulté pour définir notre identité en crise et être en mesure d’affronter les défis auxquels se trouve confrontée notre Europe.
Le droit des Européens à la continuité historique
En Europe, une obligation pénitente de repentance, couplée à un enseignement de l’Histoire sans chronologie et qui fait la part belle aux cultures et civilisations étrangères, empêchent notre peuple de convoquer son passé collectif.
Se réapproprier les hauts lieux de la civilisation européenne
Sur une carte de l’Europe, les hauts-lieux de la spiritualité ne sont que des points minuscules, mais ils rayonnent. Que diriez-vous alors de les regrouper et de les classer sur une seule carte ?














