Y a-t-il un nomos du beau ?
Pour Jure Georges Vujic, les travaux photographiques sur la spectralité des formes permettent une réflexion sur la possibilité d’un « nomos (règle) du beau » à l’époque contemporaine.
Le domaine des arts est devenu le lieu privilégié des affrontements idéologiques. Les Européens doivent retrouver la fierté de leur univers esthétique, des arts, lettres et traditions populaires qui fondent leur identité. Cette rubrique propose des ressources utiles à cette nécessaire réappropriation culturelle.
Pour Jure Georges Vujic, les travaux photographiques sur la spectralité des formes permettent une réflexion sur la possibilité d’un « nomos (règle) du beau » à l’époque contemporaine.
Comment la nature se caractérise-t-elle chez trois romanciers provençaux d’importance : Jean Giono, Henri Bosco et Joseph d’Arbaud ?
Depuis son lancement il y a dix ans, cinquante milliards de clichés ont été partagés sur Instagram. Chaque jour, plus de cent millions de photos sont publiées. Les jeunes générations sont gavées aux images comme les poulets aux hormones.
Chapitre d’Henri Levavasseur pour l’ouvrage collectif de l’Institut ILIADE "Pour un réveil européen, Nature – Excellence - Beauté", (éditions de la Nouvelle Librairie, lancement officiel à l’occasion du colloque annuel de l'ILIADE, le 19 septembre 2020 à Paris).
Postface d’Alain de Benoist à l’ouvrage collectif de l’Institut ILIADE "Pour un réveil européen, Nature – Excellence - Beauté", (éditions de la Nouvelle Librairie, lancement officiel à l’occasion du colloque annuel de l'ILIADE, le 19 septembre 2020 à Paris).
Le romantisme, on le sait, a été un mouvement tourné vers les traditions et l’on ne saurait trop conseiller aux jeunes Européens d’aujourd’hui d’en explorer les recoins.
À Vienne, au seuil du XIXe siècle, la musique est partout. Eduard Bauernfeld, un observateur de l’époque, note : « Chaque coin est plein de musiciens qui jouent pour le peuple. Personne ne veut manger son Bratl à l’auberge, s’il n’y a pas en même temps de la musique. »
La valse viennoise, danse du patrimoine européen, est souvent représentée comme une danse aristocratique ou bourgeoise, un symbole de la haute société. Mais qu’en est-il vraiment ?
Photo : Allégorie des arts (détail), Francesco de Mura, huile sur toile, c. 1750.