Matières à réflexion
L’Esthétique de la vie, de William Morris
Annonciatrice des malheurs allant s'abattre sur l'Europe avec son industrialisation, "L'Esthétique de la vie" est l'occasion pour nous de revenir sur un siècle de chute dont le versant historique fut si bien décrit par Dominique Venner dans "Le Siècle de 1914".
De la crise de l’art moderne à la renaissance européenne
Faute de cérémonies pour célébrer le sacré, les œuvres sont condamnées à finir dans les musées. Dans ce texte, Jean-François Gautier nous exhorte à recréer un art européen au service de nouveaux rituels.
Oswald Spengler : une introduction, par Alain de Benoist
Paul Valéry déclarait en 1919 : « Nous autres civilisations, savons maintenant que nous sommes mortelles ». C’est aussi ce qu'Oswald Spengler affirme avec force.
L’art et la guerre, un couple presque parfait
La guerre comme fait total a entretenu, dès ses origines, d’étroites sinon d’intimes relations avec l’art sous toutes ses formes et n’a cessé de le faire en traversant le temps.
En Pays défait, de Pierre Mari
Docilité et convenance sont de toutes les époques certes, comme l’abaissement moral, mais depuis les années 80, l’universelle démission, la rupture névrotique du lien civilisationnel, l’amnésie forcée sont devenues la règle.
Vinci, la fin de l’ancien monde
En plus d’avoir été un des peintres les plus remarquables de la Renaissance, Léonard de Vinci témoigne de la vision du monde de son temps. A travers ses toiles se laisse dessiner une mentalité collective particulière.
La fortune et la virtù
Peu d'hommes ont suscité autant de passions, de débats et d'interrogations que Bonaparte. Oui, Bonaparte, le jeune général qu'au gré des opinions on blâme ou on loue d'avoir, dans les deux sens du mot, achevé la Révolution.
Alexandre à la bataille de Gaugamèles (1er octobre 331 av J.C.)
Alexandre se révèle à nouveau comme un grand chef de guerre à la bataille de Gaugamèles, prenant définitivement l’initiative sur ses adversaires acculés à réagir plus qu’à profiter de leur surnombre.