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Itinéraires européens

Des glaces de Svalbard aux falaises de Gavdos, de Tintagel en Cornouailles aux bulbes dorés de Nijni Novgorod, notre Europe nous offre un nombre incalculable d’itinéraires : sentiers de transhumance, passages de col, chemins de pèlerinage, routes parcourues tant par les marchands que par les soldats… Le plus souvent à pied, parfois à cheval ou en bateau.

Aujourd’hui, ces itinéraires européens – de la promenade familiale au raid engagé de plusieurs jours – vous invitent à mettre vos pas dans ceux de nos ancêtres. Vous découvrirez des trésors cachés, ou porterez un nouveau regard sur des sites célèbres en les abordant autrement qu’en voiture. Parce que « y aller à pied, c’est vraiment y aller », comme nous le conseille une devise lue en Grèce sur le chemin de l’Olympe. Nous y sommes allés – ou nous y irons – pour vous, le plus souvent à pied, mais aussi à ski, à cheval, à bicyclette et même en bateau.

N’hésitez pas à nous faire part de vos plus belles randonnées, en complétant la fiche « mon itinéraire » (cliquez ici), et en l’accompagnant de vos plus belles photos.

Dames et sources du Vexin français

Le Vexin doit son nom aux Véliocasses, peuple gaulois installé aux alentours du IIIe siècle avant notre ère. La romanisation modifie le style de vie des habitants : cohabitation des cultes gaulois et romains, grands domaines agricoles, amélioration du réseau routier.

Dames et sources du Vexin français

Les cromlechs d’Occabé (ou Okabé)

Situé en pleine région d’Iraty, au centre des massifs montagneux du Pays Basque de France, le vaste pâturage d’Occabé occupe une place absolument privilégiée au centre d’un vaste réseau de voies antiques de tous temps consacrées à la transhumance.

Les cromlechs d’Occabé (ou Okabé)

Autour de Derborence, sur les traces de Ramuz

« On monte toujours ; la pente raidit. On est arrivé maintenant dans de grands pâturages, tout coupés de ressauts pierreux qui leur font des étages successifs. On n’est déjà plus bien loin de Derborence ; on n’est plus bien loin non plus de la région des glaciers... »

Autour de Derborence, sur les traces de Ramuz

La forêt de Mervent et Mélusine

La toponymie laisse supposer l’existence de mégalithes, dont l’un est même mentionné sur une carte ancienne mais n’a pu être retrouvé sur le terrain, ce qui indiquerait une présence humaine dès l’époque néolithique.

La forêt de Mervent et Mélusine

La carte