Génération identitaire : la solution, pas la dissolution
Il y a cinquante ans, ses membres auraient été des héros, disait Zemmour, aujourd’hui ce sont des parias.
Il y a cinquante ans, ses membres auraient été des héros, disait Zemmour, aujourd’hui ce sont des parias.
Jean-Yves Le Gallou et Polémia démontrent que le Grand Remplacement est une réalité européenne et que, partout où les extra-Européens sont en surnombre, la cohabitation est impossible.
Alors que l’année 2020 marque le 2500e anniversaire de la bataille des Thermopyles où 300 Spartiates de Léonidas se sacrifièrent, retenant l’immense armée de Xerxès, la Grèce est de nouveau confrontée à une nouvelle menace d’invasion venue d’Orient.
Jean-Yves Le Gallou prenait la parole le 18 mai 2019 aux États-Unis, au Congrès d’American Renaissance, à l’invitation de Jared Taylor. Voici le texte de son intervention.
Le « Pacte de Marrakech », visant à couvrir toutes les dimensions de l’immigration dans le monde, a été formellement adopté le 19 décembre 2018 par l'Assemblée générale des Nations unies.
Jean-Yves Le Gallou nous appelle à travers son dernier livre Européen d’abord, essai sur la préférence de civilisation (Via Romana) à nous définir d’abord comme des Européens de langue et de culture française, s’appuyant sur un sentiment d’appartenance civilisationnelle plus prégnant qu’une nationalité désormais dévaluée.
Le 20 avril 1968, Enoch Powell, grande figure du conservatisme anglais et promis aux plus hautes fonctions, avait décidé d’évoquer ses craintes avec les citoyens de son pays.
La conscience de que l’on a été, de ce que l’on est, et de ce que l’on peut ou veut devenir, implique une adaptation aux circonstances qui pour ce qui concerne les Européens, en matière d’identité, les oblige à privilégier tout ce qu’ils ont en commun sur tout ce qui les sépare.