Laurent de Médicis, le Magnifique (1449-1492)
Incarnation de la figure du prince de la Renaissance, tout à la fois homme politique, banquier, mécène et poète, cet homme illustre l’apogée d’une dynastie de marchands métamorphosés en quasi-monarques.
Il n’y a pas de sens de l’histoire : il y a la volonté des hommes, leur intelligence, leurs passions, leur destin. La pesanteur et la grâce – et toujours l’imprévu qui peut surgir à tout moment. Cette rubrique propose des portraits d’hommes et surtout de femmes d’exception – car la place des femmes est une spécificité de notre civilisation – pour mieux comprendre notre histoire et inspirer les Européens de demain.
Incarnation de la figure du prince de la Renaissance, tout à la fois homme politique, banquier, mécène et poète, cet homme illustre l’apogée d’une dynastie de marchands métamorphosés en quasi-monarques.
Le stratège et homme d’État athénien est considéré comme le père de la démocratie et de la première thalassocratie impérialiste de l’histoire.
Il est prodigieux que si peu de temps après le typhon révolutionnaire, il se soit trouvé un génie capable de réaliser la synthèse parfaite de l’ancienne société monarchique et des apports positifs de la Révolution.
« C’est là le seul homme de Prusse », dira Napoléon de Louise, l’épouse de son adversaire malheureux Frédéric-Guillaume III.
Le modeste seigneur de la Motte-Broons, aux pratiques guerrières peu conventionnelles au regard des canons chevaleresques, est une figure incontournable de la Guerre de Cent Ans.
Son empire ne lui a pas survécu. Pourtant, son nom brille d’un éclat exceptionnel.
Incarnation de la civilisation grecque face aux Barbares, fasciné cependant par l’Orient, Alexandre fut multiple, apollinien et dionysiaque. Reste le souvenir d’un destin et d’une conquête hors du commun.
Une histoire d’Eugène de Savoie et de la géopolitique du Saint Empire romain germanique, de la France et de l’Empire ottoman.