Dominique Venner, un chasseur européen
Venner ne nous parle pas que de chasse, il nous dit surtout pourquoi nous chassons. Voila pourquoi il faut le lire et s'en faire un ami et un mentor.
L’actualité semble comme une marée montante qui s’étale, grise, lâche, ignoble et flasque devant nous. Elle doit cependant être analysée comme une manifestation du réel. Afin d’y déceler, aussi, les îlots de résistance et de tenue, les lueurs d’espoir et de beauté, les fragments d’intelligence et de volonté qui sont autant de ferments du nécessaire réveil de la conscience des Européens.
Venner ne nous parle pas que de chasse, il nous dit surtout pourquoi nous chassons. Voila pourquoi il faut le lire et s'en faire un ami et un mentor.
La liste des contributeurs suffit à souligner le scandale de la répression gouvernementale contre Dominique Venner et son œuvre.
À quoi bon s’engager quand le pays va à veau-l’eau ? Pression migratoire toujours plus violente, wokisme, cancel culture. Nos ennemis se renforcent, puisant leurs forces dans les cadavres de nos contemporains totalement soumis à une machine qui désormais les domine.
Le professeur Jean Haudry est décédé ce matin, six jours avant ses 89 ans. Avec cette triste nouvelle, nous apprenons le départ d’un grand savant dont la carrière de chercheur était pleinement consacrée à l’étude de la linguistique et de la civilisation indo-européennes.
Le poème d’Homère a accompagné tout au long de sa vie le Cœur rebelle. Il ne l’a pas quitté depuis. Par Jean-Yves Le Gallou
Activiste, militant, historien méditatif... mais s’il fallait résumer l’homme en deux mots, on pourrait dire qu’il a été, tout au long de sa vie, un esprit jeune. Par Solenn M.
Dominique Venner est un chef de clan. Avec son geste, il est à l’origine d’une fondation d’une prise de conscience. Avec son sang, il a tracé un sillon comme le firent Romulus et Remus, les pères de Rome. Par Chiara Del Fiacco
Ernst Jünger nous le dit : la forêt est secrète – ge-heim. Elle est à la fois havre, école et sanctuaire, le lieu du repos et du ressourcement, mais aussi celui de la quête et de la chasse, du danger et de l’initiation, de la contemplation, enfin. Par François Veaunes