La formation de l’esprit capitaliste chez Werner Sombart. Seconde partie
Sombart décide d’aller plus loin que l’analyse des seuls individus et de leurs aptitudes en s’intéressant aux grands groupes humains, les peuples historiques.
L’actualité semble comme une marée montante qui s’étale, grise, lâche, ignoble et flasque devant nous. Elle doit cependant être analysée comme une manifestation du réel. Afin d’y déceler, aussi, les îlots de résistance et de tenue, les lueurs d’espoir et de beauté, les fragments d’intelligence et de volonté qui sont autant de ferments du nécessaire réveil de la conscience des Européens.
Sombart décide d’aller plus loin que l’analyse des seuls individus et de leurs aptitudes en s’intéressant aux grands groupes humains, les peuples historiques.
Werner Sombart est, avec son directeur de thèse Gustav von Schmoller, l’un des chefs de file de l’école historique allemande.
L’homme européen tel qu’il s’est défini au fil des siècles est un créateur de richesses et de puissance économique. Il convient de renouer avec cette vocation à l’heure où s’affirment de nouveaux compétiteurs, notamment en Asie.
La « révolution conservatrice » engagée par Viktor Orbán et le groupe de Visegrád peut-elle inspirer un autre destin à l’Europe de demain ? Un essai tonique et stimulant proposé par Thibaud Gibelin.
Une charge puissante et altière contre la « révolution petite-bourgeoise » qui a vidé de toute substance la vie de bon nombre de nos contemporains.
Le destin des Européens ? Se reconstruire des forces pour le combat de demain : celui de la reconquête de leurs contrées natives !
Selon Aristote, « l’homme est un animal politique ». Cela signifie que la vie de la cité (polis) joue un rôle essentiel dans la définition de notre identité.
Il est prodigieux que si peu de temps après le typhon révolutionnaire, il se soit trouvé un génie capable de réaliser la synthèse parfaite de l’ancienne société monarchique et des apports positifs de la Révolution.