Gagner la guerre informationnelle
Raphaël Chauvancy explore la réalité en cours du choc des puissances et l’extension du domaine de la guerre aux nouveaux espaces économiques, virtuels ou cognitifs.
L’actualité semble comme une marée montante qui s’étale, grise, lâche, ignoble et flasque devant nous. Elle doit cependant être analysée comme une manifestation du réel. Afin d’y déceler, aussi, les îlots de résistance et de tenue, les lueurs d’espoir et de beauté, les fragments d’intelligence et de volonté qui sont autant de ferments du nécessaire réveil de la conscience des Européens.
Raphaël Chauvancy explore la réalité en cours du choc des puissances et l’extension du domaine de la guerre aux nouveaux espaces économiques, virtuels ou cognitifs.
Pourquoi énerveillement nous direz-vous ? Il nous faut verser dans le remplacisme en ne reprenant pas les mots de l’adversaire, aussi informe soit-il, afin de ne pas perdre, une fois encore, la bataille des mots.
Ce populisme identitaire se veut un prélude à la renaissance des patries charnelles, au ressourcement des communautés enracinées.
L’Américain Raymond Ibrahim vient de publier une histoire aussi passionnante qu’érudite des conflits pluriséculaires qui ont opposé l’islam et la chrétienté.
De nombreux européistes sincères, chrétiens bien sûr, mais pas seulement, commencent à se demander si cette Europe en vaut encore la peine.
Cicéron fait siennes les conclusions des stoïciens, estimant qu’il ne peut y avoir de conflit entre beauté morale et utilité car ce qui est réellement utile ne saurait être laid moralement.
Cet ouvrage est ainsi une véritable ceinture de cartouches à garder près de soi, pour le parcourir régulièrement, d’un bout à l’autre, ou au hasard des pages.
Un des premiers économistes à se dresser contre la théorie économique classique fut l’Allemand Friedrich List.