Matières à réflexion
Paléogénétique des Indo-Européens : l’éditorial d’Alain de Benoist dans Nouvelle Ecole
La découverte, à partir du XVIIIe siècle, de la parenté de la quasi-totalité des langues européennes, auxquelles il faut encore ajouter certaines langues de l’Asie centrale et d’une partie du Proche-Orient, a constitué un tournant décisif de l’histoire de la linguistique.
Paléogénétique des Indo-Européens, Nouvelle Ecole n°68
A la découverte du plus ancien patrimoine commun des peuples d’Europe avec le n°68 de la revue Nouvelle Ecole : Paléogénétique des Indo-Européens.
Livr’Arbitres n°27 (hiver 2019) : hommage à Ernst Jünger
Après des numéros spéciaux consacrés à Déon, Chardonne, Mohrt, Livr’Arbitres maintient le cap non-conformiste et continue d’organiser des soirées littéraires.
Ghislain de Diesbach, un gentilhomme de notre temps
De nos jours, la politesse passe pour ringarde, pour ne pas dire suspecte, car, comme le souligne Ghislain de Diesbach dans cet essai bienvenu, « faite d’interdictions destinées à discipliner chez l’homme sa sauvagerie primitive ». Que cèdent les barrières et les barbares déferlent.
Les héros de la Vendée
Si la guerre de Vendée compte parmi les épisodes les plus sanglants de l’histoire de France, son récit relève d’une épopée grandiose et tragique que Napoléon qualifia de « guerre de géants ».
Avec Rémi Soulié
A la fin du XIXème siècle, le jeune Maurice Barrès proclame que « la terre nous donne une discipline, et (que) nous sommes le prolongement des ancêtres. » Son confrère Paul Léautaud rétorque : « Philosophie d’esclave ! L’enseignement des morts ! N’est-ce pas assez de les subir en soi forcément, sans encore se plier volontairement à eux ? »
L’Europe, une civilisation plutôt qu’un espace
Les dirigeants de l’Union européenne considèrent aujourd’hui l’Europe comme un espace indifférencié, sans identité, ni limites et dont le seul destin autorisé serait de commercer.
Européens d’abord !
Jean-Yves Le Gallou nous appelle à travers son dernier livre Européen d’abord, essai sur la préférence de civilisation (Via Romana) à nous définir d’abord comme des Européens de langue et de culture française, s’appuyant sur un sentiment d’appartenance civilisationnelle plus prégnant qu’une nationalité désormais dévaluée.








