L’école à l’abandon, quelles solutions ?
L’école fait face à une série de défis d'une ampleur inédite. Il existe pourtant en son sein, mais aussi dans le cadre familial et communautaire, un certain nombre de solutions concrètes pour les relever.
L’école fait face à une série de défis d'une ampleur inédite. Il existe pourtant en son sein, mais aussi dans le cadre familial et communautaire, un certain nombre de solutions concrètes pour les relever.
Alors même que la grande crise de trouille collective qui traverse le monde semble avoir retiré tout esprit critique à nos contemporains, la publication de ce livre représente un sursaut d’intelligence.
Jean-Yves Le Gallou nous appelle à travers son dernier livre Européen d’abord, essai sur la préférence de civilisation (Via Romana) à nous définir d’abord comme des Européens de langue et de culture française, s’appuyant sur un sentiment d’appartenance civilisationnelle plus prégnant qu’une nationalité désormais dévaluée.
Depuis bien longtemps, des archivistes se sont faits les gardiens des traces du passé avec constance. Mais les « archives » représentent bien plus que ces dossiers de sous-sols ou de musées : ce sont des mémoires vivantes.
L’obstacle le plus évident à la mission de transmission qui est celle de l’école est avant tout institutionnel. Les pratiques de l’Éducation nationale ne font aucun cas de la transmission.
« Transmettre ou disparaître ! », telle est bien l’alternative qui se pose aujourd’hui. Pour en prendre conscience, il n’est d’ailleurs nullement nécessaire d’être professeur, historien ou sociologue.
Intervention de Jean-François Gautier, docteur en philosophie et auteur de plusieurs ouvrages consacrés à la musique et aux sciences, musicologue et étiopathe, lors du colloque « Européens, transmettre ou disparaître ».
L’intitulé de notre colloque, « Transmettre ou disparaître » rend parfaitement compte de l’urgence dans laquelle nous sommes d’éveiller les prises de conscience nécessaires et d’imaginer les parades à une dérive porteuse de conséquences fatales.