Parution : « La société de propagande », de Jean-Yves Le Gallou
Dans ce dernier ouvrage, Jean-Yves Le Gallou revient sur ce terme de "propagande" et nous livre un manuel de survie pour lutter contre ce qu’il nomme un « goulag mental ».
Jean-Yves Le Gallou
Programme politique d’une génération dans l’orage
Alors qu’une grande partie du peuple se demande ce qui va bien pouvoir changer dans un système qui s’avère particulièrement sclérosé, Academia Christiana propose un programme politique écrit pour et par une génération dans l’orage.
Tour d’Europe de l’impossible assimilation des immigrés
Jean-Yves Le Gallou et Polémia démontrent que le Grand Remplacement est une réalité européenne et que, partout où les extra-Européens sont en surnombre, la cohabitation est impossible.
Macron-Créon, Castex, ubuesque
Ce délire autoritariste n’est pas neutre : il sert les intérêts des « dealers » de propagande comme ceux des commerçants à distance : Amazon, Ubereats, Deliveroo et tant d’autres.
Face à la pseudo écologie hors-sol, pour une écologie enracinée et identitaire
Les Européens doivent protéger leur territoire. De l’immigration qui envahit. Du tourisme de masse qui tue ce qu’il vient chercher. De la « croissance » qui consomme ce qui est le plus rare : l’espace.
Pour une Renaissance européenne : retrouver le fil de la continuité
Chapitre de Jean-Yves Le Gallou pour l’ouvrage collectif de l’Institut ILIADE "Pour un réveil européen, Nature – Excellence - Beauté", (éditions de la Nouvelle Librairie, lancement officiel à l’occasion du colloque annuel de l'ILIADE, le 19 septembre 2020 à Paris).
En finir avec la diabolisation : la réponse choc de Jean-Yves Le Gallou
Diabolisation, nom féminin. Technique de manipulation des esprits, visant à interdire la description des faits ou l’expression de certaines idées en disqualifiant celui qui les rapporte.
L’Europe peut-elle encore échapper au Grand Remplacement ?
Jean-Yves Le Gallou prenait la parole le 18 mai 2019 aux États-Unis, au Congrès d’American Renaissance, à l’invitation de Jared Taylor. Voici le texte de son intervention.
