Culture victimaire et bataille mémorielle autour de Napoléon, par Philippe Conrad
La remise en cause de la figure de Napoléon trouve toute sa place dans ce vaste mouvement qui vise à désarmer les nations soucieuses du maintien de leur identité.
La remise en cause de la figure de Napoléon trouve toute sa place dans ce vaste mouvement qui vise à désarmer les nations soucieuses du maintien de leur identité.
Le culte des eaux en Gaule était vivace. Il s’est tout particulièrement incarné à travers deux déesses aux noms méconnus, mais aux traces toujours présentes.
Il est temps pour vous de rejoindre les rangs de l’Institut Iliade, école de formation, d’engagement et d’amitié, pour vous armer et incarner, demain, le renouveau de notre monde.
Victorieux sur Attila aux Champs catalauniques, les peuples germains installés en Gaule ont démontré qu’ils étaient le seul rempart sérieux face aux menaces qui pèsent sur l’Empire romain d’Occident.
S’il est une vertu qui dépasse les autres par sa beauté, sa hauteur, sa superbe, elle pourrait être la magnanimité. Apanage des princes, privilège des puissants, elle est l’expression du désintéressement de la force face à la petitesse.
Récemment encore, l’expression « ça tombe comme à Gravelotte » était utilisée pour évoquer une pluie abondante, pour qualifier une succession de catastrophes ou encore une répétition.
Depuis les temps anciens, l'Europe et le monde n'avaient jamais rien connu d'aussi meurtrier sur une période aussi courte. C'était le cadeau fait aux hommes par la démocratie de masse, le progrès technique et la domination de l'économie.
Aucun renouveau de la puissance européenne ne pourra advenir sans une refonte totale de la vision que nous avons de nous-mêmes. Un texte de Robin Terrasse, reproduit avec l'aimable autorisation de la revue Conflits.