L’identité civilisationnelle de l’Europe est-elle « judéo-chrétienne » ?
L’emploi de la notion de « judéo-christianisme » procède d’un raccourci contestable, impropre à définir l’essence de notre civilisation.
L’emploi de la notion de « judéo-christianisme » procède d’un raccourci contestable, impropre à définir l’essence de notre civilisation.
Alors que le confinement nous empêche de redécouvrir les itinéraires immémoriaux de notre vieille Europe, Sylvain Tesson et Christophe Raylat nous entraînent « dans le sillage d’Ulysse ».
Philippe Walter est un médiéviste français, spécialiste des mythologies chrétiennes, notamment de la littérature arthurienne, et de l'imaginaire médiéval. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, études et traductions sur le sujet.
Frodo a 33 ans au début du roman, âge de la mort du Christ comme chacun sait. Au cours de son périple, il accepte de prendre sur ses épaules le poids du péché des hommes, en portant l’Anneau unique et en promettant de le détruire, bien que cela entraîne de terribles souffrances psychologiques et physiques.
Les noms de Gandalf, Boromir, Gimli, ou ceux des Nains du Hobbit vous rappellent-ils quelque chose ? Ils sont tirés directement ou légèrement modifiés de l’Edda poétique.
J. R. R. Tolkien disait qu’il avait été plus marqué par les auteurs classiques que par la littérature anglaise, et que c’était grâce à Homère qu’il avait découvert le plaisir de la lecture.
Jean Haudry est l’un des grands spécialistes du monde indo-européen. Il répond ici aux questions de Christopher Gérard, dans un entretien paru dans la revue Antaios en 2001.
Le « miroir de Diane » est entouré de forêts (nemus signifie « bois » en latin), où domine le châtaignier. Néanmoins, les terres volcaniques sont aujourd’hui mises en culture ; le lac n’a donc plus l’aspect sauvage qui était le sien dans l’Antiquité.