Les Éparges, sur les traces de ceux de 14
Côté français, c’est la bataille des Eparges. Côté allemand, la bataille de Combres, du nom du village situé au pied des côtes. Bilan : 12.000 pertes pour les deux camps, sur 800 mètres de front.
Côté français, c’est la bataille des Eparges. Côté allemand, la bataille de Combres, du nom du village situé au pied des côtes. Bilan : 12.000 pertes pour les deux camps, sur 800 mètres de front.
Assassiné par le pouvoir gaulliste en 1963, son souvenir cantonné aux cercles des nostalgiques de l’Algérie française, Jean de Brem propose pourtant une réflexion intéressante et unique sur l’Europe dans son Testament d'un Européen.
Ce guide de lecture à destination des parents et des enseignants représente une bouffée d’air pur pour tous ceux qui cherchent à résister à la grande entreprise de déculturation de la jeunesse européenne.
Sans être dupe, Venner se félicitait d’avoir pu connaître « le couple divin, le courage et la peur » chanté jadis par Drieu après la charge de Charleroi, ainsi qu’une guerre quasi féodale, la dernière (?) qui laissât encore l’initiative à l’individu plutôt qu’à la machine. S’il ne cachait pas la face atroce de sa guerre d’Algérie, où il découvrit la cruauté pure (« un enfant charcuté comme un lièvre »), Venner décrivait bien la trahison de l’arrière, le masochisme haineux des progressistes, leur veulerie à prétentions humanitaires.
Force est de reconnaître que depuis la longue guerre civile européenne qui a marqué le siècle de 1914, le fardeau de l'homme blanc aujourd'hui n'est plus celui qu'évoquait Rudyard Kipling, alors que l'Europe conduisait encore le monde.
Extrait de l’ouvrage collectif de l’Institut ILIADE Ce que nous sommes - Aux sources de l’identité européenne.
Ouverture du colloque « Européens, transmettre ou disparaître » : Qui sommes-nous si nous ne sommes pas maîtres de nous, chez nous ? Par Grégoire Gambier, porte-parole de l’Institut ILIADE.
L’historien romain Suétone nous apprend que Jules César, de ses propres deniers, leva une légion composée de Gaulois transalpins et qui reçut le nom, celtique, de l’alouette – alauda.