Le Carnaval
Cette fête qui nous paraît aujourd’hui bon enfant a une origine lointaine et une symbolique très forte.
Cette fête qui nous paraît aujourd’hui bon enfant a une origine lointaine et une symbolique très forte.
Le premier écrit relatant le carnaval niçois remonte à l'an 1294 par le comte de Provence, Charles II, duc d'Anjou.
Ce qui subsiste des traditions religieuses, dans notre monde désacralisé, ce ne sont guère plus que les usages profanes, ceux qui sont en rapport avec la vie courante.
Il faut souvent se reporter aux vieux dictons populaires pour comprendre certaines choses ; l’un de ceux de la Chandeleur est assez évocateur : « À la Chandeleur, l’hiver passe ou reprend vigueur. »
Le foyer… Peu de mots nous touchent autant et portent en eux tant de réconfort et de chaleur.
Le solstice d’hiver est la fête familiale par excellence, fête du Clan, fête intérieure, fête du foyer. Le feu de la maison remplace le feu du soleil.
Chez les Vikings de Jomsborg, on reste farouchement fidèle aux vieux usages. La grande expédition d’été terminée, se préparent les longues fêtes du solstice d’hiver.
Notre héritage historique nous est parvenu malgré les assauts incessants des cultes orientaux avec leurs interdits alimentaires et leur morale ascétique.