Matières à réflexion
Les Éparges, sur les traces de ceux de 14
Côté français, c’est la bataille des Eparges. Côté allemand, la bataille de Combres, du nom du village situé au pied des côtes. Bilan : 12.000 pertes pour les deux camps, sur 800 mètres de front.
Le champ de bataille de Verdun
Thématique générale du parcours : Découverte pédestre des Hauts-de-Meuse, au nord-est de Verdun, où se joua la bataille éponyme de février à décembre 1916.
La grande énigme de 14-18
Depuis plus de quatre fois vingt ans, tout a été dit sur la Grande Guerre et ses conséquences néfastes. Tout a été dit et pourtant elle nous reste une énigme qui ne fait que s’obscurcir avec le temps.
Jean de Brem, sentinelle de l’Europe
Assassiné par le pouvoir gaulliste en 1963, son souvenir cantonné aux cercles des nostalgiques de l’Algérie française, Jean de Brem propose pourtant une réflexion intéressante et unique sur l’Europe dans son Testament d'un Européen.
Le mensonge d’al-Andalus
Al-Andalus est généralement présenté comme un paradis perdu, une société multiculturelle idéale. Cette vision manichéenne, érigée en dogme par « l’Histoire officielle », est peu à peu remise en cause par des historiens courageux.
Le Prince d’Aquitaine ou comment vaincre le « Siècle de 1914 »
Christopher Gérard est déjà l’auteur de quatre romans : Maugis, Le songe d’Empédocle, Porte Louise et Vogelsang. Son œuvre s’enrichit pour notre plus grand plaisir du Prince d’Aquitaine, paru le 30 août aux éditions Pierre-Guillaume de Roux.
Sparte, cité des arts, de la guerre et des lois
Face à la lumineuse Athènes, baignant sous le soleil de l’Egée, communément représentée comme l'archétype de la cité grecque, il est de coutume d’opposer la sombre image de Sparte, austère et rude caserne aux mœurs barbares, retranchée derrière les montagnes du Péloponnèse, longtemps décrite comme le modèle des dictatures militaristes voire la matrice des régimes totalitaires.
Un été avec Homère…
Un été avec Homère… Quelle belle idée, n’est-ce pas ? Mais, me direz-vous, pourquoi justement ne pas se « contenter » de lire l’Iliade et l’Odyssée plutôt qu’une nouvelle « analyse » sur les œuvres du divin aède ?