L’Île du solstice d’hiver : un conte de Jean Mabire
La période hivernale nous invite à redécouvrir ce texte de l’écrivain Jean Mabire, publié initialement en 1965 dans la revue L’Esprit public.
La période hivernale nous invite à redécouvrir ce texte de l’écrivain Jean Mabire, publié initialement en 1965 dans la revue L’Esprit public.
Le solstice d’hiver est la fête familiale par excellence, fête du Clan, fête intérieure, fête du foyer. Le feu de la maison remplace le feu du soleil.
Chez les Vikings de Jomsborg, on reste farouchement fidèle aux vieux usages. La grande expédition d’été terminée, se préparent les longues fêtes du solstice d’hiver.
Les fêtes « traditionnelles » de Noël et du Nouvel An perdent peu à peu leur signification religieuse, pour devenir simples prétextes à des réunions gastronomiques ou à des échanges de cadeaux futiles.
Si l’on observe de nombreuses manifestations d’entités relevant du divin, du sacré ou du folklore lors du cycle du solstice d’hiver, il n’existe pas ou peu de divinités spécifiquement liées au jour du solstice.
Fête du soleil, de la jeunesse, de l’été, le solstice d'été est source d'inspiration pour de nombreux artistes.
Comme tous les ans nous voici dans une période de l'année où depuis des temps immémoriaux, nos pères et les pères de nos pères ont célébré la fête de la lumière la plus longue.
L’Épiphanie, du grec epihenia « apparition », qui célébrait à l’origine la Nativité, honorait au XVe siècle le souvenir du baptême du Christ, mais aussi son premier miracle et l’adoration des mages.