Charlemagne, l’empereur d’Occident (768-814)
Son empire ne lui a pas survécu. Pourtant, son nom brille d’un éclat exceptionnel.
Son empire ne lui a pas survécu. Pourtant, son nom brille d’un éclat exceptionnel.
Christopher Gérard nous enchante d’une version remaniée de son roman Maugis, publié une première fois en 2005. Derrière ce titre étrange vous attendent des pages vibrantes de pure poésie.
L’Épiphanie, du grec epihenia « apparition », qui célébrait à l’origine la Nativité, honorait au XVe siècle le souvenir du baptême du Christ, mais aussi son premier miracle et l’adoration des mages.
Victorieux sur Attila aux Champs catalauniques, les peuples germains installés en Gaule ont démontré qu’ils étaient le seul rempart sérieux face aux menaces qui pèsent sur l’Empire romain d’Occident.
S’il est une vertu qui dépasse les autres par sa beauté, sa hauteur, sa superbe, elle pourrait être la magnanimité. Apanage des princes, privilège des puissants, elle est l’expression du désintéressement de la force face à la petitesse.
Encadrement, entraînement, logistique, tactique… Il est impossible de détailler tous les points forts de la légion romaine en quelques lignes. Aussi, n’en retiendrons nous que deux, illustrés ensuite par deux batailles emblématiques.
Ouvert par le cataclysme de la Première Guerre Mondiale, le cycle du « sombre vingtième-siècle » a plongé l’Europe dans une crise de civilisation sans précédent.
Évoquer une civilisation en une soixantaine de textes exige un sévère parti pris.