Laurent de Médicis, le Magnifique (1449-1492)
Incarnation de la figure du prince de la Renaissance, tout à la fois homme politique, banquier, mécène et poète, cet homme illustre l’apogée d’une dynastie de marchands métamorphosés en quasi-monarques.
Incarnation de la figure du prince de la Renaissance, tout à la fois homme politique, banquier, mécène et poète, cet homme illustre l’apogée d’une dynastie de marchands métamorphosés en quasi-monarques.
Le modeste seigneur de la Motte-Broons, aux pratiques guerrières peu conventionnelles au regard des canons chevaleresques, est une figure incontournable de la Guerre de Cent Ans.
Un jeune garçon énergique, un chevalier courageux, au cœur de la guerre de Cent Ans. Une figure forte et originale.
Son empire ne lui a pas survécu. Pourtant, son nom brille d’un éclat exceptionnel.
La résistance des Hospitaliers à Malte brise l’avancée des Ottomans en Méditerranée. Quelques années plus tard, les Européens reprendront l’offensive et s’assureront la victoire de Lépante.
L’ouvrage s’inscrit ainsi parfaitement dans la réflexion engagée par l’Institut Iliade sur les alternatives à l’échec – l’impasse – de la modernité techno-marchande.
Aujourd’hui connoté péjorativement, le mot corporatisme est employé pour désigner le fait de défendre les intérêts, les droits, d’une entreprise, d’un groupe. Mais qu’en est il réellement ?
L’idée selon laquelle l’homme aurait de tout temps été un pur égoïste entravé par les contraintes de la société est le postulat central de la philosophie libérale.