Politique du vivant
Selon Aristote, « l’homme est un animal politique ». Cela signifie que la vie de la cité (polis) joue un rôle essentiel dans la définition de notre identité.
Selon Aristote, « l’homme est un animal politique ». Cela signifie que la vie de la cité (polis) joue un rôle essentiel dans la définition de notre identité.
Le nom d’Arnold Gehlen est aujourd’hui à peine connu en France. Grâce au travail approfondi de Christian Sommer, qui s’est confronté au style alerte et aux terminologies acérées de l’auteur, nous disposons enfin d’une traduction française de son maître ouvrage.
Au cours des dernières décennies, le souci de la cause animale n’a cessé de progresser. À l’heure de la « Ferme des mille vaches », des élevages en batterie et autres abominations de l’élevage industriel, on aurait toutes raisons de s’en réjouir.
De vibrants appels à « sauver la planète » résonnent aujourd’hui de toutes parts : ils ne sont dénués ni d’arrière-pensées politiques, ni d’incohérences.
En dehors de son territoire, c’est-à-dire de son biotope, l’animal ne peut pas vivre et la plante ne peut pas survivre. Qu’en est-il de l’homme ?
Réaffirmer notre lien avec la nature, ce n’est pas sombrer dans les incantations dérisoires d’une Greta Thunberg et de ses admirateurs, c’est avoir le courage de poser les questions dérangeantes à propos du modèle de croissance qui commande les économies d’aujourd’hui.
Entretien avec André Archimbaud à l’occasion de la sortie de son nouveau livre : Anahita et la vipère des sables (un confinement peut en cacher un autre).
La multiplication des annonces et mesures gouvernementales de plus en plus restrictives, de même que l’imprévisibilité de la situation sanitaire, ne nous permettent plus de garantir l’organisation de notre manifestation.