Quand la France était la première puissance du monde…
La France a sans doute atteint son apogée à la veille de la Révolution, portant paradoxalement sa puissance à un niveau inégalé. Quels étaient les leviers de cette puissance ?
L’actualité semble comme une marée montante qui s’étale, grise, lâche, ignoble et flasque devant nous. Elle doit cependant être analysée comme une manifestation du réel. Afin d’y déceler, aussi, les îlots de résistance et de tenue, les lueurs d’espoir et de beauté, les fragments d’intelligence et de volonté qui sont autant de ferments du nécessaire réveil de la conscience des Européens.
La France a sans doute atteint son apogée à la veille de la Révolution, portant paradoxalement sa puissance à un niveau inégalé. Quels étaient les leviers de cette puissance ?
Les très dynamiques éditions de la Nouvelle Librairie ont été particulièrement inspirées d’éditer il y a quelques mois un ouvrage qui s’avère aujourd’hui essentiel pour rendre intelligibles les débats politiques et idéologiques du moment.
La remise en cause de la figure de Napoléon trouve toute sa place dans ce vaste mouvement qui vise à désarmer les nations soucieuses du maintien de leur identité.
N’en déplaise aux « républicains » de tous poils, les logiques de la puissance (politique) et de la foi (religieuse) entretiennent depuis longtemps des rapports complexes.
L’emploi de la notion de « judéo-christianisme » procède d’un raccourci contestable, impropre à définir l’essence de notre civilisation.
Byzance tomba aux mains des Turcs tout en discutant du sexe des anges. Le français achèvera de se décomposer dans l’illettrisme pendant que nous discuterons du sexe des mots.
L’idée selon laquelle l’homme aurait de tout temps été un pur égoïste entravé par les contraintes de la société est le postulat central de la philosophie libérale.
Il y a cinquante ans, ses membres auraient été des héros, disait Zemmour, aujourd’hui ce sont des parias.