Incarnation de la figure du prince de la Renaissance, tout à la fois homme politique, banquier, mécène et poète, cet homme illustre l’apogée d’une dynastie de marchands métamorphosés en quasi-monarques.
Ce chef-d’œuvre gravé au burin par Dürer en 1513, alliance des formes de l’art gothique traditionnel et de la perspective italienne, suscite depuis près de cinq siècles des interprétations passionnées.
En plus d’avoir été un des peintres les plus remarquables de la Renaissance, Léonard de Vinci témoigne de la vision du monde de son temps. A travers ses toiles se laisse dessiner une mentalité collective particulière.
L’Institut Iliade pour la longue mémoire européenne fête sa première année d’existence et lance une campagne de communication sur le thème : « Ni Lampedusa, ni Bruxelles : Être Européen ! »
Intervention d’Alain de Benoist, philosophe, politologue et essayiste, lors du 2e colloque de l’Institut Iliade, Paris, Maison de la Chimie, 25 avril 2015.
Homère, c’est plus qu’un nom. Les Anciens pensaient qu’il contenait tout, il était « le commencement, le milieu et la fin ». C’est la fondation de la maison et même à bien des égards l’équipement de la maison.