Pour une éthique du travail
On le répète souvent, nous vivons dans une société dominée par l’esprit marchand, une société dont les maux culturels et physiologiques sont de plus en plus dénoncés.
On le répète souvent, nous vivons dans une société dominée par l’esprit marchand, une société dont les maux culturels et physiologiques sont de plus en plus dénoncés.
« Il n’est pas possible d’être civilisé de deux manières », dit Feliks Koneczny. Cette formule est vertigineuse. Elle bat en brèche l’universalisme.
Et si comprendre le destin de l’Europe supposait d’abord de comprendre ce qu’est une civilisation ?
La parution d’un lumineux essai dû à la plume d’un jeune penseur liégeois était l’occasion de mieux faire connaître un itinéraire non conformiste et comme à rebours du siècle.
Le réalisme politique consiste à considérer le politique dans son essence. Le politique a ses lois, qui ne sont pas celles de l’économie, ni du droit, ni de la morale.
La politique n’est-elle qu’une extension de la morale ou bien constitue-t-elle un domaine distinct, suivant ses propres lois ? C’est à cette question que répond Antoine Dresse dans cet essai consacré au réalisme politique.
S’il y a du politique, c’est d’abord et avant tout parce que l’homme est un être social et historique, et qu’il doit organiser une société dont la progression n’est pas arrêtée d’avance. Par Ego Non.