Alors que le confinement nous empêche de redécouvrir les itinéraires immémoriaux de notre vieille Europe, Sylvain Tesson et Christophe Raylat nous entraînent « dans le sillage d’Ulysse ».
« Où la chose manque, on y met le mot », disait Montherlant. La seule interrogation sur l’identité atteste de sa disparition. Lorsqu’elle existe, dans son évidence et son immédiateté, elle ne suscite aucun discours : elle est, stable et sûre, fût-elle mal assurée ou précaire sur un plan individuel.