Shakespeare. Le nom de ce grand dramaturge anglais est connu de tous. Mais qui sait à quel point son œuvre est imprégnée de la civilisation européenne ?
Il était une fois, l’Europe. Terre de mythes et de légendes, de fées et de chevaliers, de grandes épopées et de héros glorieux, tous issus de peuples fiers et libres.
Derrière la compétition électorale entre « populistes » et « progressistes », ce sont bien deux visions du monde, deux façons d’être au monde, et à l’Europe, qui s’affrontent : celle des Somewhere et des Anywhere. Rapport au lieu, au territoire, mais également au temps, à l’espace.
Assassiné par le pouvoir gaulliste en 1963, son souvenir cantonné aux cercles des nostalgiques de l’Algérie française, Jean de Brem propose pourtant une réflexion intéressante et unique sur l’Europe dans son Testament d'un Européen.
De l’identité heureuse : intervention de Paul-Marie Coûteaux, haut-fonctionnaire et homme politique, lors de la table ronde « Comment se réapproprier notre identité ? » au colloque « Fiers d’être Européens » le 7 avril 2018.
L’ethno-masochisme a plusieurs expressions. Elles vont de la repentance pour l’œuvre de colonisation accomplie par l’Europe jusqu’à l’assomption de la responsabilité pour l’ensemble des maux frappant le monde entier.
L’Europe comme civilisation peut-elle encore survivre ? Oui, à une condition, qu’elle sorte de l’horrible XXème siècle ! Le XXème siècle c’est, selon Dominique Venner, « Le siècle de 1914 ». Un siècle de catastrophes.
Ouverture du colloque « Européens, transmettre ou disparaître » : Qui sommes-nous si nous ne sommes pas maîtres de nous, chez nous ? Par Grégoire Gambier, porte-parole de l’Institut ILIADE.
L’Institut Iliade pour la longue mémoire européenne fête sa première année d’existence et lance une campagne de communication sur le thème : « Ni Lampedusa, ni Bruxelles : Être Européen ! »
Présentation d'un haut-lieu européen, Brocéliande, par Marie Monvoisin, lors du 2e colloque de l’Institut Iliade, Paris, Maison de la Chimie, 25 avril 2015.