Níkos Kazantzákis, partagé entre les influences de Homère, Bergson et le Christ, propose dans cette œuvre protéiforme une lecture originale et profonde de la philosophie nietzschéenne.
Incarnation de la civilisation grecque face aux Barbares, fasciné cependant par l’Orient, Alexandre fut multiple, apollinien et dionysiaque. Reste le souvenir d’un destin et d’une conquête hors du commun.
La bataille de Marathon a, avec celle des Thermopyles, traversé les siècles dans l’imaginaire des Européens. Elle fait justement partie du premier « grand conflit » auquel les Européens ont dû faire face.
Alors que l’année 2020 marque le 2500e anniversaire de la bataille des Thermopyles où 300 Spartiates de Léonidas se sacrifièrent, retenant l’immense armée de Xerxès, la Grèce est de nouveau confrontée à une nouvelle menace d’invasion venue d’Orient.
S’il est un fait que la sculpture grecque était largement polychrome, le propos de France Culture tente de nous faire croire que cette réalité aurait été ignorée, cachée, niée volontairement tout au long des siècles par pure xénophobie.
Alexandre se révèle à nouveau comme un grand chef de guerre à la bataille de Gaugamèles, prenant définitivement l’initiative sur ses adversaires acculés à réagir plus qu’à profiter de leur surnombre.
La bataille des Thermopyles demeure l’un des exemples les plus illustres du dévouement à la patrie. Bien qu’étant une défaite tactique qui n’empêcha pas l’armée perse de reprendre sa progression, elle fut une grande victoire stratégique.