Alors que le confinement nous empêche de redécouvrir les itinéraires immémoriaux de notre vieille Europe, Sylvain Tesson et Christophe Raylat nous entraînent « dans le sillage d’Ulysse ».
À l’image d’Ulysse retrouvant Ithaque après dix années d’errance, au comble de l’infortune, il appartient au jeune Européen de retrouver son chemin, de se réapproprier cette vertu tant dévoyée qu’est la virilité.
Le culte des héros, par delà les siècles et malgré le règne de l’individualisme marchand, continue de vivre dans l’esprit de nos contemporains. Nous reproduisons à ce titre les textes d’une série de conférences d’Ivan Blot consacrées à l’homme héroïque.
S’il est un fait que la sculpture grecque était largement polychrome, le propos de France Culture tente de nous faire croire que cette réalité aurait été ignorée, cachée, niée volontairement tout au long des siècles par pure xénophobie.
Un été avec Homère… Quelle belle idée, n’est-ce pas ? Mais, me direz-vous, pourquoi justement ne pas se « contenter » de lire l’Iliade et l’Odyssée plutôt qu’une nouvelle « analyse » sur les œuvres du divin aède ?
« Où la chose manque, on y met le mot », disait Montherlant. La seule interrogation sur l’identité atteste de sa disparition. Lorsqu’elle existe, dans son évidence et son immédiateté, elle ne suscite aucun discours : elle est, stable et sûre, fût-elle mal assurée ou précaire sur un plan individuel.
3e anniversaire du sacrifice volontaire de Dominique Venner pour sortir les peuples européens de leur dormition. « Nous sommes les enfants d’Ulysse et de Pénélope » : Dominique Venner répond aux questions de la journaliste Laure Destrée pour La Nouvelle Revue d'Histoire (juin 2009).